1965 Iso Grifo A3/C

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€680,000 EUR | Sold

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  • One of most beautiful sports cars of the 1960s
  • A highly desirable “riveted” example with alloy body panels
  • Fully restored during 2012 and 2013 by an Italian marque expert
  • L'une des plus belles voitures de sport des années 1960
  • Très séduisant exemplaire "riveté" à emboutis en aluminium
  • Totalement restaurée en 2012 et 2013 par une expert italien de la marque
Addendum
Please note RM Sotheby's will assist the successful buyer with the registration of this vehicle within the EU and the title will follow post-sale.

Veuillez noter que RM Sotheby's assistera l'acheteur pour l'enregistrement de ce véhicule au sein de l'UE et la carte grise suivra après la vente.

Giotto Bizzarrini is now regarded as an engineering genius, largely thanks to his involvement with Ferrari during a pivotal period, but nowhere were his talents more aptly demonstrated than his work on the A3/C. His abrupt departure from Ferrari matched his disruptive approach to engineering, and he enacted his revenge through projects such as the 250 GT SWB ‘Breadvan’, designing Lamborghini’s V-12 engine, and teaming up with Commendatore Rivolta’s Iso.

Bizzarrini’s partnership with Iso led to—with the help of Pierluigi Raggi—the creation of the A3/C, which utilised a shortened Rivolta chassis constructed using pressed steel sections welded together, along with a tubular body frame. The drivetrain included a powerful 5.3-litre Corvette engine, mounted as far back as possible for optimum weight distribution, delivering power through a T-10 four-speed gearbox. The suspension was equally advanced being fully independent at the front and with a De Dion tube at the rear. The most forward-thinking area of the A3/C, though, was the stunning body, created by Bizzarrini in partnership with Piero Drogo. The evolution of Bizzarrini’s aerodynamic understanding is obvious when the A3/C is compared with his earlier work, and at its competition debut rendered many of its front-engined competitors almost obsolete. Its crowning glory at the racetrack would be a class win at the 1965 24 Hours of Le Mans.

This A3/C was delivered in March 1965 in the stunning colour of Grigio Argento Metallizzato as one of 18 desirable “riveted” cars with an all-aluminium body. Apparently, an accident early in its life resulted in its return to the factory, where it re-emerged in Bizzarrini 5300 specification. It returned to Germany and was later exported to the USA. During an inspection in 2003 its identity as an early Iso became apparent, and in 2012 it was sent to marque specialist Salvatore Diomante to be fully restored to A3/C specification.

Today this A3/C is not just remarkable for its extraordinary colour, but its rarity in being one of just 22 “riveted” cars. This A3/C would make a fine car for top concours events or merely cruising across the continent, or a potential front runner in the Greatest Trophy series by Peter Auto.

Si Giotto Bizzarrini est maintenant tenu pour un génie de la mécanique, c'est en grande partie du fait de son activité chez Ferrari à une période cruciale, mais son talent n'a jamais été aussi bien mis en évidence qu'avec sa A3/C. La brusquerie de son départ de chez Ferrari allait de pair avec son approche déstabilisante de la mécanique et il tint sa revanche avec des projets tels que la 250 GT SWB 'Breadvan', la conception du V12 Lamborghini et son association avec l'Iso du Commendatore Rivolta.

L'association de Bizzarrini avec Iso conduisit, avec l'aide de Pierluigi Raggi, à la création de l'A3/C, qui utilisait un châssis Rivolta raccourci fait de sections en acier embouti soudées entre elles et raccordées à un squelette tubulaire. Son groupe motopropulseur était constitué d'un moteur 5,3 litres de Corvette monté aussi en arrière que possible pour optimiser la répartition des masses et d'une boîte T-10 à quatre rapports. Sa suspension était également très évoluée, à roues indépendantes à l'avant et à tube de Dion à l'arrière. Son constituant le plus futuriste était son époustouflante carrosserie, créée par Bizzarrini avec l'aide de Piero Drogo. L'évolution de la prise en compte de l'aérodynamique par Bizzarrini saute aux yeux si l'on compare l'A3/C à ses créations antérieures. Les débuts en compétition de l'A3/C rendirent quasiment obsolètes ses concurrentes à moteur avant et son couronnement sur les circuits eut lieu avec une victoire dans son groupe aux 24 Heures du Mans 1965.

Cette A3/C a été livrée en mars 1965 ; elle était d'une impressionnant vert pomme Grigio Argento Metallizzato et faisait partie des dix-huit séduisantes voitures "rivetées" à caisse en aluminium. Il semble qu'un accident survenu au début de sa vie l'ait fait revenir à l'usine, d'où elle est ressortie sous la forme d'une Bizzarrini 5300. Elle rentra en Allemagne puis fut par la suite exportée aux Etats-Unis. Un contrôle effectué en 2003 révéla que c'était une ancienne Iso et, en 2012, elle fut confiée au spécialiste de la marque Salvatore Diomante pour être restaurée en profondeur et remise dans sa définition d'A3/C.

De nos jours, ce n'est pas tant sa couleur extraordinaire qui rend cette A3/C remarquable, mais plutôt la rareté de son appartenance au groupe des vingt-deux voitures "rivetées". C'est une voiture raffinée qui pourrait participer à des concours de premier plan ou tout simplement sillonner les routes du continent ou encore être la voiture de tête d'un Greatest Trophy de Peter Auto.