2011 Lexus LFA
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€747,500 EUR | Sold
Offered from The Degenève Collection
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- Part of The Degenève Collection
- A one-owner example of Lexus’ ground-breaking hand-built supercar
- One of only three LFAs supplied new to France, and of just 500 sold worldwide
- Powered by a 552 horsepower, 4,805 cc, 72-degree, dry-sump V-10
- Odometer reads just 9,059 kilometres at the time of cataloguing
- Fait partie de la Collection Degenève
- Exemplaire première main de l'extraordinaire supercar Lexus
- Une des trois LFA livrées neuves en France, sur un total mondial de 500 exemplaires
- Propulsée par un V10 à 72° de 4 805 cm3, d'une puissance de 552 ch
- Le compteur n'affichait que 9 059 km au moment de rédiger ce catalogue
When Toyota’s flagship Lexus division unveiled its first model in 1989, pundits were quick to take note. At the first attempt, the firm had achieved the impossible: the LS400 set a new benchmark for refinement, shaming long-established rivals in the process. It was little surprise, then, that when the marque set out to build its first—and to date, only—supercar, the result was truly extraordinary. Almost a decade in the making, when the wraps came off at the 2009 Tokyo Motor Show, it was undoubtably worth the wait.
Built around a carbon monocoque, the Lexus was equipped with a 552 horsepower, 4,805 cc V-10 capable of hitting 9,500 rpm so quickly that a conventional rev counter was reportedly unable to keep up. Instead, the LFA’s Alcantara-clad cockpit featured state-of-the-art digital instruments worthy of a fighter jet. Driving through a six-speed transaxle, this hand-built technological tour de force could sprint from 0 to 100 km/h in 3.6 seconds and top 322 km/h. Carbon-ceramic brakes and 20-inch Bridgestone rubber meant it could stop with the same breath-taking alacrity.
Honed over five years at the Nürburgring before going on sale—including two 24-hour races—in 2011 the Lexus set a time of 7:14.64 around the German circuit, establishing a world record for a road-legal production vehicle. Yet for all its avant garde construction, howling V-10 and technical prowess, only 500 LFAs were ever destined to leave the Motomatchi factory, each costing $375,000. Of those, 40 were delivered to Europe, of which only seven—including the car offered—were finished in Pearl White.
The 65th LFA built, chassis 000118 has been owned since new by The Degenève Collection, a glittering selection of landmark automobiles assembled by one of Europe’s longest-serving Toyota dealers. Despite the addictive nature of the V-10, the Lexus had covered just 5,870 kilometres by the time of the six-year service in 2019, and at time of cataloguing the odometer read just 9,059 kilometres.
Offered complete with the original manuals, this single-owner Lexus has been carefully maintained by Toyota Motorsport of Cologne and represents a rare opportunity to acquire one of the most extraordinary Japanese cars ever designed.
Lorsque Lexus, division phare de Toyota, a dévoilé en 1989 son premier modèle, ce dernier n'est pas resté inaperçu des spécialistes. Dès son premier essai, le constructeur a réussi l'impossible : la LS 400 a imposé une nouvelle référence en matière de raffinement, faisant rougir des concurrentes bien établies sur le marché. Personne n'a donc été surpris que, quand la marque s'est lancé dans la conception de sa première (et unique, jusqu'à présent) supercar, le résultat se soit révélé vraiment extraordinaire. Après presque 10 ans d'études, la voiture a été enfin dévoilée au Salon de Tokyo 2009, et elle méritait vraiment cette longue attente.
Constituée d'une structure monocoque en carbone, cette Lexus était équipée d'un V10 de 4 805 cm3 développant 552 ch et capable d'atteindre 9 500 tr/mn si vivement qu'un compte-tours conventionnel était incapable d'en suivre le rythme. Ainsi, l'habitacle habillé d'Alcantara de la LFA affichait des instruments numériques avant-gardistes, dignes d'un avions de chasse. Doté d'une boîte-pont à six rapports, ce tour de force technologique pouvait accélérer de 0 à 100 km/h en 3,6 s et atteindre 332 km/h en pointe. Des freins en carbone-céramique et des pneus Bridgestone de 20 pouces de large lui permettaient de s'arrêter avec la même stupéfiante efficacité.
Avec une mise au point affinée pendant cinq ans au Nürburgring avant que cette voiture ne soit mise en vente — avec deux courses de 24 heures — elle a signé en 2011 un temps de 7 mn 14 s 64 sur le circuit allemand, ce qui constituait un record mondial pour une voiture de série. Pourtant, malgré sa conception avant-gardiste, son fabuleux V10 et ses prouesses techniques, seulement 500 LFA ont quitté l'usine de Motomatchi, chacune vendue au prix de 375 000 $. Parmi elles, 40 ont été destinées à l'Europe, dont seulement sept de couleur "Pearl White". La voiture proposée ici en fait partie.
Cette LFA portant le numéro de châssis 000118, la 65ème construite, appartient depuis l'origine à la Collection Degenève, une superbe sélection d'automobiles importantes réunies par un des agents Toyota les plus anciens d'Europe. Malgré la nature enivrante du V10, cette Lexus n'avait parcouru que 5 870 km au moment de sa révision des six ans, en 2019, et le compteur affichait 9 059 km lors de la rédaction de ce catalogue.
Vendue avec ses manuels d'origine, cette Lexus première main a été soigneusement entretenue par Toyota Motorsport, de Cologne, et représente une rare opportunité d'acquérir une des voitures japonaises les plus extraordinaires jamais conçues.