1989 Ferrari F40

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€950,000 - €1,050,000 EUR | Not Sold

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  • Two owners from new, with single private ownership for over 25 years
  • Desirable 'Non-Cat, Non-Adjust' version
  • Air conditioning, wind-up windows, and four-point Sabelt harnesses
  • Recently serviced by Maranello Egham
  • Ferrari Classiche certified
  • Deux propriétaires depuis l’origine, dans les mêmes mains pendant plus de 25 ans
  • Désirable version non catalysée, suspension non pilotée
  • Air conditionné, vitres manuelles, harnais Sabelt quatre points
  • Révision récente chez Maranello Egham
  • Certificat Ferrari Classiche
Addendum
Please note that contrary to the printed catalogue description, the car's most recent service was carried out by DTR Sports Cars with fuel tanks and clutch supplied by Maranello Egham.

Veuillez noter que, contrairement aux indications du catalogue papier, la révision la plus récente effectuée sur cette voiture l'a été par DTR Sports Cars, avec des réservoirs de carburant et un embrayage fournis par Maranello Egham.

478 bhp, 2,936 cc DOHC twin-turbocharged 90-degree V-8 engine with Weber-Marelli engine management and fuel injection, five-speed manual transmission, tubular steel and carbon composite chassis, independent double-wishbone suspension with Koni hydraulic shock absorbers and front and rear anti-roll bars, and four-wheel steel ventilated disc brakes. Wheelbase: 2,450 mm

Moteur V8 à 90°, 2 936 cm³, 2 ACT par banc, 478 ch, double turbo, gestion électronique et injection Weber-Marelli, transmission manuelle cinq rapports, châssis en tubes d’acier et fibre de carbone, suspension indépendante à double triangulation, amortisseurs hydrauliques Koni, barres antiroulis avant et arrière, freins à disque sur les quatre roues. Empattement : 2 450 mm

Built in celebration of the legendary Maranello company’s 40th birthday, the Ferrari F40 was the company’s shining star of the 1980s. At its heart was a twin-turbocharged V-8, which was developed from the engine first found in the 288 GTO. However, the F40’s powerplant received bigger bores and a shorter stroke, raising total output to 478 horsepower. A sprint from 0–60 took just 3.8 seconds, and the car could rocket itself to a quarter-mile in 11.8 seconds. Braking was equally impressive, and the F40 could go from 60 mph to a grinding halt in just 119 feet. With the Porsche 959’s record-breaking top speed of 197 mph firmly in its sights, the F40 shattered not only the 959’s record for fastest production car ever built, but also broke through the mythical 200 mph barrier with a top speed of 201.4 mph.

Pioneering the use of carbon fibre, the F40 tipped the scales at just 1,088 kilos. Its bodywork was designed with aerodynamics in mind and provided incredible high-speed stability and channelled lots of airflow to its engine. Inside, the F40 made no concessions for luxury and with lightweight bucket seats, no carpets, door pulls instead of door handles, and the option of either roll-up or fixed windows, Ferrari’s engineers knew that every ounce counted in the pursuit of performance.

Chassis number 80747 was delivered new to Italy and has led a fascinating life. A highly desirable example without catalytic converters and non-adjustable suspension, this F40 was delivered new to Motor Service S.r.l. in Modena directly to the owner’s mechanic. Fitted with air conditioning, wind-up windows, and four-point Sabelt racing harnesses, it remained with the same family in Italy until 2014.

Unfortunately, in September 1989, the car was stolen; however, it was quickly recovered undamaged and a new set of locks was fitted. The owner again sent his mechanic to collect the car. Whilst driving the F40 home, he was stopped by the police. Unfortunately for him, the officials had not updated their system and believed the car was in fact still stolen. The mechanic was arrested and spent one night in jail, until the police realised their mistake and he was released!

Following the original owner’s passing, the car remained with his trusty mechanic, who treated this car as if it were his own child, servicing it meticulously and always cleaning it thoroughly after every outing. He even created a bespoke secure storage box for the car in his garage. The car had to be pushed into the box and winched out, as the doors could not be opened once in the box.

Prior to its sale to the current owner in September of 2014, the F40 was shipped home to the Ferrari factory, where it was inspected and certified by Ferrari Classiche. Also in 2014, prior to its purchase by the current owner, the car was fully serviced by Motor Service S.r.l., which included replacing the cam belts, replacing all the fluids, and properly setting the fuel injection. The engine was also subject to a compression test, the gearbox oil was changed, and the brakes were overhauled. Finally, the car received a full set of new tyres. More recently under the custodianship of its second and current owner, the car was fully serviced by Maranello Egham in the United Kingdom and received new fuel tanks as well as a new clutch. The seats have also been recently retrimmed by O’Rourke Coach Trimmers in Rudgwick, West Sussex.

Today, the F40 presents exceptionally well with no known accident damage, just as one would expect for a two-owner F40. This truly exceptional example is worthy of inclusion into the finest of collections.

Produite afin de célébrer les 40 ans de la firme légendaire de Maranello, la Ferrari F40 était l’icône de l’entreprise dans les années 1980. En son cœur, on retrouvait le V8 à deux turbocompresseurs dérivé du moteur initialement proposé sur la 288 GTO. Toutefois, l’alésage était plus élevé et la course plus courte sur le moteur de la F40 qui délivrait la puissance de 478 ch. Le 0 à 100 km/h était couvert en 3,8 s et la voiture pouvait se propulser sur 400 m en 11,8 s. Le freinage était tout aussi impressionnant, la F40 n’ayant besoin que de 36 m pour décélérer de 100 km/h à l’arrêt. Avec les 317 km/h de la Porsche 959 en ligne de mire, la F40 a fait voler en éclats le record du monde de vitesse pour une voiture de série jusque là détenu par sa concurrente allemande, en atteignant la vitesse de 323 km/h, dépassant ainsi la barre symbolique des 200 mph (321 km/h).

Révolutionnaire pour l’utilisation de la fibre de carbone, la F40 affichait un poids qui se limitait à 1 088 kg. Les considérations aérodynamiques ont bien sûr influencé le dessin de sa carrosserie, ce qui lui conférait une incroyable stabilité à haute vitesse et canalisait d’importants flux d’air vers le moteur. Aucune concession n’était accordée au confort et, qu’il s’agisse des sièges baquet ultralégers, de l’absence de moquettes et de poignées de porte, ou encore des vitres coulissantes ou fixes selon les modèles, les ingénieurs de Ferrari savaient que chaque kilo économisé était important dans la quête de performances.

Le châssis n° 80747 a été livré neuf en Italie et a connu une vie peu banale. Exemplaire particulièrement désirable dépourvu de pot catalytique et des suspensions pilotées, cette F40 a été livrée neuve au mécanicien de son premier propriétaire par la société Modena Classic. Equipée de l’air conditionné, de vitres à remontage manuel et de harnais à quatre points Sabelt, elle est restée dans la même famille jusqu’en 2014.

En septembre 1989, la voiture a été malheureusement volée, avant d'être rapidement retrouvée sans dommages. Son propriétaire a chargé son mécanicien d'aller la récupérer mais, sur le chemin du retour, celui-ci s'est fait arrêté par la police qui, n’ayant pas mis à jour ses informations, pensait que la voiture était toujours déclarée volée. Le malheureux conducteur a donc passé une nuit en prison, avant que la police ne réalise son erreur et le relâche ! De nouvelles serrures ont été montées.

Après le décès de son premier propriétaire, la voiture est restée aux bons soins de son valeureux mécanicien, qui en a pris soin comme s’il s’agissait de son propre enfant, s’assurant de son bon entretien et la nettoyant après chaque sortie. Il a même conçu un système de stockage spécial et sécurisé dans son propre garage : la voiture devait être poussée à la main pour être garée, les portes ne pouvant plus s’ouvrir lorsqu’elle était dans son box.

Avant d’être vendue à son propriétaire actuel en septembre 2014, la F40 a été envoyée à l’usine Ferrari, où elle a été examinée et certifiée par Ferrari Classiche. A la même époque, avant que l’actuel propriétaire ne l’achète, la voiture a connu une révision complète chez Motor Service, incluant le remplacement des courroies de distribution, de l’ensemble des fluides et un réglage de la pompe à injection. Les compressions du moteur ont été vérifiées, l’huile de boîte changée et les freins révisés. Les pneus ont également été remplacés. Plus récemment, son actuel propriétaire l’a confiée à Maranello Egham en Grande Bretagne ; elle y a bénéficié d'une révision et les réservoirs d’essence ainsi que l’embrayage ont été changés. La sellerie des sièges a également été refaite chez O’Rourke Coach Trimmers, à Rudgwick, dans le West Sussex.

Aujourd’hui, cette F40 se présente dans un état exceptionnel, n’ayant manifestement jamais été accidentée, tout ce que l’on peut espérer pour une voiture n’ayant eu que deux propriétaires. Cet exemplaire exceptionnel mérite de s’intégrer dans les plus belles collections.