1973 Maserati Bora 4.9

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€179,200 EUR | Sold

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  • A rare and underappreciated Italian thoroughbred
  • One of just 275 examples with the desirable 4.9-litre V-8
  • A matching-numbers example finished in its original colour combination
  • Includes Maserati Classiche documentation
  • Pur-sang italien rare et sous-estimé
  • 275 exemplaires produits avec le désirable V8 de 4,9 litres
  • Exemplaire à numéros concordants ("matching numbers") et combinaison de couleurs d'origine
  • Accompagnée de documentation de Maserati Classiche

320 bhp, 4,930 cc mid-mounted V-8 engine with four Weber 42 DCNF twin-choke carburettors, five-speed ZF manual transaxle, four-wheel independent suspension with unequal-length A-arms, coil springs, and anti-roll bars; and hydraulic four-wheel disc brakes. Wheelbase: 2,600 mm

Moteur V8 central arrière, 4 930 cm3, 320 ch, quatre carburateurs Weber 42 DCNF double corps, transmission manuelle cinq rapports, suspension avant et arrière indépendante avec triangles inégaux, ressorts hélicoïdaux et barres antiroulis, freins à disques à commande hydraulique sur les quatre roues. Empattement 2 600 mm.

Since its inception, Maserati had been perceived principally as a racing marque, and it was not until the 3500 GT was launched in 1957 that they were taken seriously as a road car manufacturer. In 1968 the company was taken over by Citroën, which led to much needed funding and access to new technology.

The introduction of the Bora in 1971 represented Maserati’s first rear-engined production car. The mighty 450 S-derived engine and five-speed ZF transaxle were fitted to a monocoque chassis employing four-wheel independent suspension, and the Citroën-supplied hydropneumatic control system not only powered the ventilated disk brakes, but also—ingeniously—permitted 'touch button' movement of the pedal box, driving seat position, headlights, and windows.

This package, combined with sleek coachwork courtesy of Giorgetto Giugiaro at Italdesign, ensured formidable performance, with 60 mph reached in under 7 seconds and a top speed of 170 mph. It was also perhaps the most practical supercar of its era, with a generous storage compartment to the front and enviable levels of both sound and heat deadening.

According to documentation from Maserati Classiche, chassis number 562 is a U.S.-specification example and was despatched from Modena in May 1973 to Maserati Automobiles in Los Angeles, finished in black with red leather, as it appears today. Ownership changed, but remained in California, in 1983, until it was acquired by a Mr Visser of Denver, Colorado, in 1992 and who treasured the car for the next 14 years. It was acquired by the previous owner in 2006, who had the Bora serviced by Dino Motors in California. The car comes with a quantity of service history showing regular maintenance throughout.

The car was recently acquired by the consignor and brought back to Europe. This outstanding Bora, finished in its sporting original colours, represents a rare mix of race-bred heritage, technical innovation, and show-stopping design.

Depuis sa création, Maserati avait été perçue principalement comme marque de voitures de compétition, et ce n'est qu'avec le lancement en 1957 de la 3500 GT que le nom devenait synonyme de constructeur de voitures de route. En 1968, l'entreprise était rachetée par Citroën, ce qui lui permettait de retrouver une santé financière et d'avoir accès à de nouvelles technologies.

Présentée en 1971, la Bora correspondait à la première Maserati de série à moteur central-arrière. Le moteur dérivé de la très puissante 450 S et la boîte cinq rapports ZF transaxle trouvaient place dans une structure monocoque dotée d'une suspension complètement indépendante. Le système hydraulique Citroën permettait non seulement de commander les freins à disques, mais aussi, de façon ingénieuse et par simple pression sur un bouton, de régler le pédalier, la position du siège conducteur, l'ouverture des phares escamotables, et les vitres.

Habillée d'une élégante carrosserie due à Giorgetto Giugiaro, d'Italdesign, cette voiture affichait des performances brillantes, accélérant de 0 à 100 km/h en moins de 7 s et atteignant 275 km/h en pointe. Elle était peut-être aussi la plus pratique des supercars de son époque, avec un compartiment à bagages de dimensions généreuses à l'avant, et un niveau enviable d'isolation et d'insonorisation.

D'après la documentation provenant de Maserati Classiche, cette voiture (châssis n° 562) est un exemplaire aux spécifications américaines et a été livrée en mai 1973 à Maserati Automobiles à Los Angeles. Elle était alors de teinte noire avec intérieur rouge, comme elle l'est encore aujourd'hui. La voiture a changé de propriétaire en 1983, mais elle est restée en Californie jusqu'à ce qu'elle soit achetée, en 1992, par un M. Visser, de Denver (Colorado). Il la conservait pendant 14 ans et finissait par la céder en 2006 au précédent propriétaire, qui la faisait entretenir chez Dino Motors, en Californie.

Cette voiture a été achetée récemment par le propriétaire actuel, et ramenée en Europe. Cette magnifique Bora, dans ses superbes couleurs d'origine, représente une rare combinaison de patrimoine sportif, d'innovation technique et design fantastique.