1963 Aston Martin DB5
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€1,100,000 - €1,300,000 EUR | Not Sold
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- The very first production factory left-hand-drive DB5 saloon
- Originally delivered to racing driver Peter Lindner
- Formerly owned by Hollywood star Nicolas Cage
- Upgraded to the desirable 4.2-litre specification
- La toute première DB5 Saloon à conduite à gauche
- Vendue neuve au pilote automobile Peter Lindner
- Anciennement propriété de l’acteur hollywoodien Nicolas Cage
- Moteur porté à 4, 2 litres
300 bhp, 4,200 cc DOHC inline six-cylinder engine, four-speed manual transmission, independent front suspension with upper and lower control arms, coil springs, and an anti-roll bar, live rear axle with Watt linkage, radius rods, and coil springs, and four-wheel hydraulic disc brakes. Wheelbase: 2,490 mm
Moteur à six cylindres en ligne à 2 ACT, 4 200 cm3, 300 ch, boîte de vitesses manuelle à quatre rapports, suspensions avant indépendantes par triangles inégaux superposés, ressorts hélicoïdaux et barre stabilisatrice, essieu arrière De Dion avec bras longitudinaux superposés formant parallélogrammes de Watt et ressorts hélicoïdaux, quatre freins à disque à commande hydraulique assistée. Empattement 2,490 mm.
The DB5 is perhaps the one car in the world that needs no introduction. Made famous by the 1964 James Bond movie Goldfinger, the DB5 is considered by many to be the epitome of Aston Martin’s most famous era.
Lifted straight from the silver screen, the Aston Martin DB5 is virtually identical to the DB4 Series V Vantage. Aston Martin maintained the Superleggera bodywork designed by Touring of Milan, which called for aluminium panels attached to a tubular frame. The smaller 15-inch wheels that had been introduced on the Series V were retained, as were the separate rear lights. A slight change was made to the rear of the hood in order to streamline the tail into the boot for a more elegant shape. Although the spy gadgets were removed for production, the DB5 was fitted with plenty of stylish extras and upgrades.
Under the bonnet, the DB5 packed a lot more power than the previous model. The major mechanical upgrade was the inclusion of a 4.0-litre engine, which increased power output to 283 and produced top speeds of 143 mph. While the original production run offered a five-speed ZF gearbox as an optional extra, this shortly became standard, as did power windows, an alternator, and exhaust silencers. Other standard equipment included reclining seats, wool pile carpets, twin fuel tanks, chrome wire wheels, an oil cooler, full leather trim in the cabin, and a fire extinguisher. Fast, luxurious, and elegant, it is easy to see why James Bond looked so at home in the Aston Martin DB5.
The DB5 on offer today is the very first saloon chassis off the production line and is one of few factory left-hand-drive examples on the market. Originally exported to Germany, chassis 1301 was delivered to famed Frankfurt driver Peter Lindner, who would unfortunately perish in a motorsport accident later that year. The build record notes two additional owners and has factory service records through 1971. These records indicate a factory engine change to engine number 400/2667 in 1969 while the car remained in German ownership.
The DB5 changed hands a number of times before being exported to the United States in the mid-1970s, where it came under the care of Lance Evans, a noted Aston Martin expert and owner of Steel Wings, the well-known Aston restoration facility. It was with Evans that the car underwent its first restoration, in which work was completed on its chassis, engine, transmission, and differential.
Subsequently, the DB5 was sold in 2001, finding a new owner in Hollywood actor and avid car enthusiast Nicolas Cage. Following its time in Cage’s vaunted collection, it was further restored in 2003 by Autosports Designs. It was this most recent restoration in which the engine was increased to the desirable 4.2-litre displacement. Modern air conditioning and stereo units have been added for comfort and carefully hidden as to not disturb the original charm. Exterior Lucas fog lamps have been added for extra safety, and chassis number DB5/1301/L is currently finished in Silver Birch with a stunning black interior. It is offered with a copy of the original build sheet.
As the favoured car of international spies for over 60 years, an Aston Martin DB5 has a place in every car collection. The first of its kind, DB5/1301/L stands alone as one of the greatest.
La DB5 est peut-être la seule voiture au monde qui n’a pas besoin d’être présentée. Rendue mondialement connue par le film de 1964 de James Bond, Goldfinger, la DB5 est considérée par beaucoup comme l’apogée de la période la plus renommée d’Aston Martin.
En provenance directe du grand écran, l’Aston Martin DB5 est pratiquement identique à la DB4 Série V Vantage. Aston Martin conserva la carrosserie système Superleggera conçue par Touring de Milan qui consistait en un revêtement d’aluminium sur un treillis de petits tubes d’acier. Les petites roues de 15 pouces introduites sur la Série V furent également conservées ainsi que les lampes arrière séparées. Un petit changement apporté à l’arrière du capot permit d’harmoniser les lignes entre l’avant et l’arrière et au niveau de l’intégration du couvercle de coffre. Même si les gadgets du célèbre agent secret n’existaient plus en production, la DB5 était abondamment et luxueusement équipée.
Sous le capot, la DB5 disposait de beaucoup plus de chevaux que sa devancière. La principale avancée technique concerna l’installation d’un moteur de 4 litres qui porta la puissance à 283 ch et la vitesse maximale à 230 km/h. Si une boîte ZF à cinq rapports fut proposée en option sur les premières voitures, celle-ci devint très tôt standard comme les glaces électriques, l’alternateur et les silencieux d’échappement. Parmi les autres équipements standard, citons les sièges à dossier inclinable, les moquettes en laine épaisse, les deux réservoirs d’essence, les roues fils chromées, le radiateur d’huile, le garnissage complet en cuir et l’extincteur. Rapide, luxueuse et élégante, on comprend pourquoi James Bond se sentait si bien chez lui dans une Aston Martin DB5.
La DB5 offerte ici est la toute première tombée de chaîne et l’une des rares voitures à conduite à gauche d’origine. Initialement exportée en Allemagne, le châssis 1301 fut livré au célèbre pilote automobile de Francfort, Peter Lindner, qui devait trouver la mort en course un peu plus tard dans l’année. Les archives indiquent deux autres propriétaires et le carnet d’entretien à l’usine est tamponné jusqu’en 1971. Ces documents indiquent un remplacement du moteur avec montage par l’usine du moteur 400/2667 en 1969 alors que la voiture était toujours en Allemagne.
La DB5 changea de main à plusieurs reprises avant d’être exportée aux États-Unis au milieu des années 1970 où elle fut entretenue par Lance Evans, spécialiste Aston Martin et propriétaire de Steel Wings, un atelier de restauration d’Aston réputé. C’est chez Evans que la voiture bénéficia d’une première restauration qui concerna le châssis, le moteur, la boîte et le différentiel.
Par la suite, la voiture fut vendue en 2001, trouvant un nouveau propriétaire à Hollywood en la personne de l’acteur Nicolas Cage, passionné d’automobile. Après un séjour dans la collection de Cage, elle fut de nouveau restaurée en 2003 par Autopsort Designs. C’est à l’occasion de cette dernière restauration que le moteur fut porté à 4, 2 litres. Un système d’air conditionné moderne et des haut-parleurs stéréo ont été installés pour améliorer le confort, mais ces équipements ont soigneusement dissimulés pour ne pas détériorer le charme original de l’habitacle. Des antibrouillard Lucas ont été ajoutés par sécurité et la voiture DB5/1301/L est actuellement peinte en Silver Birch avec un très bel intérieur noir. Elle est accompagnée d’une copie de la fiche de fabrication d’origine.
Voiture favorite de l’agent secret le plus célèbre depuis plus de 60 ans, une Aston Martin DB5 a sa place dans toute collection de belles automobiles. Première de son espèce, DB5/1301/L en est d’autant plus estimable.