1965 Maserati Mistral 3.7 Coupé by Frua

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€218,400 EUR | Sold

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  • The successor to the 3500 GT with Grand Prix–derived DOHC straight six
  • Rare 3.7-litre with manual gearbox, one of just 383 built
  • Matching-numbers engine
  • Héritière de la 3500 GT et de son six-cylindres double arbre issu des Grand Prix
  • Rare 3,7 litres à boîte manuelle ; 383 exemplaires seulement
  • Moteur d'origine, numéros concordants

255 bhp, 3,694 cc DOHC inline six-cylinder engine, five-speed ZF manual transmission, independent front suspension with coil springs, rigid rear axle with semi-elliptical leaf springs, and four-wheel disc brakes. Wheelbase: 2,400 mm

Moteur six-cylindres en ligne, 3 694 cm3, 2 ACT, 255 ch, transmission manuelle ZF cinq rapports, suspension avant indépendante avec ressorts hélicoïdaux, pont arrière rigide avec ressorts semi-elliptiques, freins hydrauliques à disques sur les quatre roues. Empattement 2 400 mm.

Maserati was building upon the success of the 3500 GT and Sebring when it commissioned Pietro Frua to design a new body to be placed upon an updated Tipo 109 chassis. The new two-seat coupé was named ‘Mistral’, after the strong winds blowing from the Mediterranean coast in the south of France.

This was to be Maserati’s last car powered by its famed Grand Prix–derived straight-six engine. Typical of Italian sports car construction at the time, the body was constructed in steel whilst the doors, bonnet, and boot lid were fashioned out of aluminium. When unveiled, it was considered by many to be one of Frua’s finest designs.

The Mistral was an instant success, and a steady flow of orders ensured that the car remained in production until 1970, with only slight updates and an increase in the engine’s displacement from 3.5 to 3.7 to, finally, 4.0 litres.

The car offered here was delivered in October 1965 to its first owner in Chiasso, on the Swiss/Italian border, with the desirable manual gearbox. Despite its commercial success, as with many Italian sports cars of the era, build numbers were small. In fact, this Mistral is one of just 383 coupés with the 3.7-litre engine, ensuring it is an uncommon sight both on the road and at classic events.

This Mistral is presented in very good condition and is a fine example of a model which was often overlooked by enthusiasts in the past, yet it boasts a loyal following from those who appreciate its level of sophistication and character.

Maserati était en train de bâtir le succès de la 3500 GT et de la Sebring lorsque le constructeur a commandé à Pietro Frua une nouvelle carrosserie qui puisse être installée sur un châssis Tipo 109 modifié. Le nouveau coupé deux places qui en résultait était dénommé Mistral, du nom du vent célèbre qui s'engouffre dans la vallée du Rhône jusqu'à Marseille et la Méditerranée.

C'est la dernière Maserati qui sera équipée du fameux moteur six-cylindres issu des Grand Prix. Répondant à la conception des voitures italiennes sportives de l'époque, la carrosserie était en acier mais les portes, le capot et le coffre étaient en tôle d'aluminium. Lors de sa présentation au public, la voiture fut considérée par beaucoup comme la plus belle réalisation de Frua.

La Mistral a rencontré un succès immédiat et un flux régulier de commandes a pu assurer son maintien au catalogue jusqu'en 1970, le modèle ne connaissant que de très légères retouches et bénéficiant d'une augmentation de cylindrée, de 3,5 à 3,7 et finalement à 4 litres.

La voiture proposée ici a été livrée en octobre 1965 à son premier propriétaire, à Chiasso, sur la frontière séparant la Suisse de l'Italie. Elle est équipée de la désirable boîte manuelle. Bien que la Mistral ait rencontré un bon succès commercial, comme c'était le cas de nombreuses sportives italiennes à cette époque, la production est restée limitée. En fait, cette Mistral fait partie des 383 coupés produits avec le moteur 3,7 litres, ce qui lui assure une réelle rareté sur la route et lors d'évènements historiques.

Cette Mistral se présente en très bon état ; il s'agit d'un bel exemplaire d'un modèle souvent sous-estimé par les amateurs dans le passé, mais qui bénéficie aujourd'hui d'une juste reconnaissance de la part de ceux qui apprécient son niveau de sophistication et sa personnalité.