With its rich racing heritage, Maserati has a long and storied tradition of producing beautifully designed and fast GT coupés for discerning enthusiasts. In March 1971, under Citroën’s control, the Bora was unveiled at Geneva, and once again, Maserati selected the name of a wind for its dramatic Giorgetto Giugiaro-designed mid-engine GT.

The Bora featured a sporty but comfortable air-conditioned cabin and a sophisticated, innovative chassis. Citroën encouraged high-pressure hydraulics for the windows, pop-up headlights, adjustable seats and pedal box, and vented disc brakes. With its powerful 320–brake horsepower, 4.9-litre V-8 and five-speed gearbox, the Bora was capable of 0–60 in 6.6 seconds and a top speed in excess of 170 mph.

Just 564 Boras were built from 1971 to 1980, of which 275 were powered by the desirable 4.9-litre engine, including this Bora, which was featured in Marc Sonnery’s book, Maserati, the Citroën Years.

The car is presented from a lifetime of careful maintenance rather than a full restoration. In recent years, it has been cared for by Maserati Specialist Marcello Candini of Modena, with replacement water pump, alternator belt, oil pressure transmitter, fans, bulbs, and filters fitted. Accompanying the car is a detailed condition report, undertaken in October 2015, which highlights the originality of the car as well as its fluid driving style.

Well received ever since its introduction at the 1971 Geneva Auto Show, but underappreciated in recent years, the Bora is now a GT in ascendance, attracting the attention it deserves.

Avec son riche passé en compétition, Maserati s'est bâti une réputation justifiée de constructeur de coupés GT de hautes performances, magnifiquement dessinés et destinés aux amateurs avertis. En mars 1971, sous le contrôle de Citroën, la Bora était dévoilée à Genève et, une fois de plus, Maserati avait choisi un nom de vent pour l'attribuer à cette voiture à moteur central et dont les lignes superbes étaient signées Giorgetto Giugiaro.

La Bora offrait un habitacle sportif mais confortable et climatisé, ainsi qu'un châssis sophistiqué et innovant. Citroën avait orienté le constructeur vers un système hydraulique haute pression pour commander les vitres, les phares escamotables, les réglages de sièges et du pédalier, ainsi que les freins à disques ventilés. Avec son puissant moteur V8 de 4,9 litres développant 320 ch accolé à une boîte à cinq rapports, la Bora passait de 0 à 100 km/h en 6,6 secondes, avec une vitesse de pointe de plus de 270 km/h.

La production de Bora s'est limitée à 564 exemplaires entre 1971 et 1982, dont 275 étaient dotés du désirable moteur 4,9 litres. Cette Bora, qui apparaît dans le livre de Marc Sonnery, Maserati, the Citroën Years, fait partie des ces dernières.

La voiture présentée arbore sa teinte d'origine "vert pin" et elle a bénéficié de soins réguliers tout au long de sa vie, plutôt que d'une restauration complète. Ces dernières années, elle était entretenue par le spécialiste Maserati Marcello Candini, de Modène, qui a notamment procédé au remplacement de la pompe à eau, d'un capteur de pression d'huile, de la courroie d'alternateur, de ventilateurs, ampoules et filtres. Un rapport d'état effectué en octobre 2015 souligne l'originalité de la voiture ainsi que sa conduite fluide. Ce document est inclus au dossier de la voiture.

Bien accueillie lors de sa présentation au Salon de Genève 1971, mais sous-estimée ces dernières années, la Bora est aujourd'hui une GT qui grimpe, attirant toute l'attention qu'elle mérite.