1968 Ferrari 365 GTC by Pininfarina

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€571,200 EUR | Sold

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  • Legendary low-production model
  • Matching numbers
  • Well preserved and substantially original
  • Modèle légendaire, faible production
  • Numéros concordants
  • Bien préservée et très largement d'origine

320 DIN hp, 4,390 cc DOHC V-12 engine, five-speed manual transaxle, coil-spring independent front suspension, four-wheel coil-spring independent suspension, and four-wheel power hydraulic disc brakes. Wheelbase: 2,700 mm

Moteur V-12, 4 390 cm3, 320 ch DIN, 2 ACT par banc, boîte manuelle cinq rapports transaxle, suspension à quatre roues indépendantes avec ressorts hélicoïdaux, freins hydrauliques assistés à disques sur les quatre roues. Empattement: 2 700 mm.

The Ferrari 330 GTC (Gran Turismo Coupé) was unveiled at the Geneva Salon in March 1966 and was designed to complement Ferrari’s sporting berlinetta, the 275 GTB, in much the same way that the 250 GT Pininfarina Coupé had complemented the 250 GT Tour de France. The 330 GTC combined many design elements from the most beautiful Ferrari automobiles, and it offered the latest development of Colombo’s legendary V-12 engine, with a chassis closely patterned after the 275 GTB. Legendary racing drivers Phil Hill and Paul Frère both proclaimed the model to be the best Ferrari built to date and one of the finest GT cars ever made.

In 1968, the 330 GTC received a batch of modest upgrades, including an increase in engine displacement, good for an additional 20 horsepower, resulting in the 365 GTC. This new model was instantly identifiable by the relocation of its front wing vents to the bonnet. The improved engine featured greater power at a lower range of the rpm band, with strong torque developing at as low as 2,500 rpm.

In addition to offering better mechanical performance than its predecessor, the 365 GTC was built in far smaller quantities, with only 168 examples produced between 1968 and 1970. As with all limited-production Ferraris, the small number built has made the 365 GTC valuable as much for its power and dashing good looks.

This 365 GTC, chassis number 12055, was dispatched by the Ferrari factory to the Assistenza Clienti at Modena for finishing work and the preparation for delivery on 17 February 1969. Later that month, the car, finished in Grigio Ortello (2.443.813) over Beige (VM 3218) upholstery, was delivered to dealer M. Gastone Crepaldi S.a.s. in Milan and sold to a local resident, Mr Amadori. Records of well-known Ferrari historian Marcel Massini show that the Assistenza Clienti continued to maintain the car for Amadori until well into the early 1970s.

In the following years, the 365 GTC was exported to the United States, where it was owned by Carl Walsten, of Greenwich, Connecticut. Mr Walsten displayed the car at the Ferrari Club of America’s regional meeting on Long Island in September 1976.

By 1982, the car was advertised for sale with new black Connolly leather, which remains within it today. It was subsequently owned by Jules Levine, of Stamford, Connecticut, who maintained it for some five years. Thereafter, it was in the collection of Boston doctor David Allegra, M.D., who later relocated to California with the car and displayed it at the Rosso Rodeo Concours in Beverly Hills in June 1995.

More recently, chassis number 12055 was imported and registered in the United Kingdom. It is presented today as a largely original car that has always been well cared for. Importantly, it still retains the original engine, as can be clearly seen from the stamping on the engine block.

The paint is fresh, and the black leather has achieved the nice worn-in condition that can only be obtained through regular use and proper care. The engine bay shows proper maintenance, and the original Veglia metric instrumentation displays some 3,200 kilometres, likely post-restoration. The car is also equipped with air conditioning and an AM/FM stereo/cassette tape entertainment system.

In many ways, the 365 GTC represents the late 1960s “sweet spot” for Ferrari enthusiasts, as it offers everything that one seeks: two seats, V-12 power, well over 300 horsepower, a five-speed gearbox, classic Pininfarina good looks, Borrani wire wheels, a luxurious interior, and the classic thin, wood-rimmed Nardi steering wheel.

All in all, this is a well-cared-for, substantially original car that is bound to delight any aficionado of the marque. As a member of a very small constituency, only 168 examples, it is to be particularly prized.

Dévoilée au Salon de Genève en mars 1966, la Ferrari 330 GTC (Gran Turismo Coupé) était conçue pour compléter la plus sportive 275 GTB berlinetta, de la même façon que le coupé 250 GT Pininfarina avait complété la 250 GT Tour de France. La 330 GTC combinait plusieurs éléments de style provenant des plus belles Ferrari, et elle offrait le dernier développement du légendaire V-12 Colombo, avec un châssis proche de celui de la 275 GTB. Phil Hill et Paul Frère, pilotes de légende, proclamaient tous les deux que ce modèle correspondait à la meilleure Ferrari commercialisée à ce jour, et l'une de meilleures GT jamais produites.

En 1968, la 330 GTC devenait la 365 GTC et recevait plusieurs modestes améliorations, dont une augmentation de cylindrée générant 20 ch supplémentaires. Ce nouveau modèle était immédiatement identifiable par la relocation des prises d'air que portait la 330 GTC sur les ailes avant. Le moteur plus gros offrait une puissance plus élevée sur une plus grande plage de régime, avec un couple conséquent dès 2 500 tr/mn.

En plus des meilleures performances dont disposait la 365 GTC, elle était produite en quantité beaucoup plus limitée, avec un total de 168 exemplaires fabriqués entre 1968 et 1970. Comme c'est le cas avec toutes les Ferrari de faible production, sa rareté a fait de la 365 GTC une voiture appréciée autant pour cette raison que pour sa puissance et sa ligne splendide.

Cette 365 GTC (numéro de châssis 12055), a été livrée le 17 février 1969 par l'usine Ferrari à l'Assistenza Clienti à Modène pour les dernières finitions et la préparation avant la livraison. Plus tard ce même mois, la voiture, peinte en Grigio Ortello (2.443.813) avec sellerie Beige (VM 3218), était livrée au distributeur M. Gastone Crepaldi S.a.s., à Milan, puis vendue à un résident local, M. Amadori. Les archives de l'historien bien connu Marcel Massini montrent que l'Assistenza Clienti a continué à entretenir cette voiture pour M. Amadori jusqu'au début des années 1970.

Au cours des années suivantes, cette 365 GTC était exportée aux États-Unis, où elle appartenait à Carl Walsten, de Greenwich (Connecticut). M. Walsten exposait la voiture en septembre 1976 lors du meeting régional du Ferrari Club of America, à Long Island.

En 1982, elle était proposée par annonce à la vente avec une nouvelle sellerie en cuir Connolly noir, qui l'équipe toujours aujourd'hui. Elle passait ensuite entre les mains de Jules Levine, de Stamford (Connecticut), qui la gardait quelque cinq années. Puis on la retrouvait dans la collection du Dr David Allegra, M.D., de Boston, qui déménageait plus tard en Californie et exposait la voiture en juin 1995 au Rosso Rodeo Concours, à Beverly Hills.

Plus récemment, cette voiture (numéro de châssis 12055) était importée et immatriculée au Royaume-Uni. Elle se présente aujourd'hui dans un état très proche de l'origine, ayant toujours bénéficié d'un entretien soigneux. Il est important de noter qu'elle comporte encore son moteur d'origine, ce qui peut être facilement vérifié par la frappe sur le bloc moteur.

La peinture est récente et le cuir noir présente la patine séduisante qui ne peut être obtenue que par une utilisation régulière et soigneuse. Le compartiment moteur montre un entretien correct, et les instruments Veglia métriques d'origine indiquent 3 200 km, probablement post-restauration. Cette voiture est également équipée d'un système d'air conditionné et d'un autoradio AM/FM stéréo/lecteur de cassettes.

Par de nombreux aspects, la 365 GTC représente pour les passionnés de Ferrari le "juste milieu" de la fin des années 1960, car elle offre tout ce que l'on recherche : deux sièges, un moteur V-12, largement plus de 300 ch, une boîte cinq rapports, une ligne classique signée Pininfarina, des jantes Borrani, un intérieur luxueux et le volant Nardi classique, avec sa fine jante en bois.

Cette voiture qui a été bien soignée pendant toute son existence et qui est encore largement d'origine doit séduire un aficionado de la marque. Le fait qu'elle fasse partie d'une famille de seulement 168 exemplaires ne peut la rendre que plus précieuse.