1952 Nash-Healey Roadster by Pinin Farina

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€72,800 EUR | Sold

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  • America’s first true post-war sports car
  • Matching numbers and largely original
  • Thrilling to drive on the road or track
  • Eligible for numerous vintage rallies, including the Mille Miglia Storica
  • Première vraie sportive américaine d'après-guerre
  • Largement d'origine, numéros concordants (matching numbers)
  • Très excitante à conduire, sur route ou sur circuit
  • Éligible pour de nombreux rallyes historiques, dont les Mille Miglia Storica

125 bhp, 3,848 cc inline six-cylinder engine with two carburettors, three-speed manual transmission with overdrive, front suspension with trailing lower links and coil springs, rear suspension with a live axle and coil springs, and four-wheel hydraulic drum brakes. Wheelbase: 2,600 mm.

Moteur six-cylindres en ligne, 3 848 cm3, 125 ch, deux carburateurs, boîte manuelle trois rapports avec overdrive, suspension avant à bras tirés inférieurs et ressorts hélicoïdaux, essieu arrière rigide avec ressorts hélicoïdaux, freins hydrauliques à tambours sur les quatre roues. Empattement: 2 600 mm

During a chance meeting whilst crossing the Atlantic on the Queen Elizabeth, Englishman Donald Healey and Nash-Kelvinator chief George Mason discussed the prospect of collaborating on a sports car. The duo came to an agreement, and batches of Nash Ambassador six-cylinder engines and three-speed gearboxes with overdrive were shipped to Warwickshire, England. There, they were mated with a Healey Silverstone chassis and a Panelcraft body of Healey design. Production began for the 1951 model year in December 1950. Racing versions finished 9th in class in the Mille Miglia and 4th overall at Le Mans, but the steep $4,063 price for Nash’s halo car kept sales to just 104 units that first year.

Mason never cared for the original slab styling of the car, so he contracted Italy’s Battista “Pinin” Farina to style the senior Nashes for 1952, as well as to update the Nash-Healey. Steel bodywork replaced aluminium. The price jumped to $5,858, and a total of just 150 were produced. Production ended just two short years later, after a total of 506 units had been built.

This unusual, highly original Nash-Healey was previously owned by a respected enthusiast in Midwestern United States. Previously, it was found resting in a warehouse in Holland for the better part of 25 years. It is a matching-numbers car with its original engine. Although it is believed that the car has been repainted many years ago, it is likely all-original, and it is virtually intact, including its top and side curtains. Period advertising materials are also included with the sale of this Nash-Healey. The car is running; although, after long-term storage, further re-commissioning is recommended prior to making the car roadworthy. With today’s interest in original cars and barn-find examples, this is an outstanding and uncommon opportunity to purchase an iconic and rare Nash-Healey convertible.

Lors d'un entretien impromptu au cours d'une traversée de l'Atlantique à bord du paquebot Queen Elizabeth, Donald Healey et George Mason, directeur de Nash-Kelvinator, ont évoqué la possibilité de collaborer sur la réalisation d'une voiture de sport. Ils ont fini par trouver un accord, si bien que des lots de moteurs six-cylindres et de boîtes de vitesses trois rapports de Nash Ambassador étaient ensuite expédiées des États-Unis jusqu'au Warwickshire, en Angleterre. Là, cette mécanique était installée sur un châssis de Healey Silverstone, le tout recevant une carrosserie Panelcraft dessinée par Healey. La production commençait en décembre 1950, pour l'année-modèle 1951. Des versions compétition obtenaient parallèlement de bons résultats, avec une neuvième place de catégorie aux Mille Miglia et une quatrième au classement général des 24 Heures du Mans, mais le prix élevé de 4 063 $ empêchait les ventes de dépasser 104 unités au cours de cette première année.

Mason n'appréciait pas beaucoup le style un peu massif de la voiture et, ayant déjà signé un contrat avec Battista « Pinin » Farina pour dessiner les Nash de l'année 1952, il demandait au carrossier de se pencher aussi sur la Nash-Healey. La carrosserie aluminium laissait place à de l'acier, le prix faisait un bon à 5 858 $ et la production atteignait 150 exemplaires. La voiture disparaissait toutefois du catalogue deux petites années plus tard, avec un total de 506 unités produites.

Cette Nash-Healey inhabituelle et extrêmement originale a appartenu à un passionné respecté du Middle West américain. Auparavant, elle avait été découverte reposant dans un entrepôt en Hollande où elle était restée quelque 25 années. Elle présente des numéros concordant, dont celui de son moteur d'origine. Bien qu'elle ait probablement été repeinte il y a plusieurs années, le reste de la voiture est très largement d'origine, pratiquement intact, y compris la capote et les panneaux latéraux amovibles. Des documents promotionnels d'époque sont inclus à la vente. La voiture fonctionne mais, à la suite d'une longue période d'immobilisation, une révision approfondie est recommandée avant de prendre la route. Avec l'intérêt que suscitent aujourd’hui les voitures en état d'origine et les « sorties de grange », il s'agit d'une opportunité remarquable et peu commune d'acheter un emblématique et rare cabriolet Nash-Healey.