220 bhp, 3,485 cc DOHC inline six-cylinder engine, four-speed manual gearbox, coil-spring independent front suspension, live rear axle with coil springs and radius arms, and front disc and rear drum hydraulic brakes. Wheelbase: 2,598 mm
Moteur six-cylindres en ligne, 3 485 cm3, 220 ch, deux ACT, boîte manuelle quatre rapports, suspension avant indépendante avec ressorts hélicoïdaux, essieu arrière rigide avec ressorts hélicoïdaux et jambes de force, freins à disques à l'avant et à tambours à l'arrière. Empattement: 2 598 mm.
In 1926, Alfieri formed Officine Alfieri Maserati SpA, Bolgna. Alfieri then took over the foundering grand prix efforts of Diatto, the upscale Turinese automaker. He renamed the Diatto racer Maserati 26 and won his class in the Targa Florio. Success came slowly, with both Alfieri and Ernesto driving, although Alfieri later died in 1932. Ernesto succeeded him as chief designer, Ettore joined the family firm as a business manager in 1930, and Bindo became a sales manager two years later. Maseratis soon became the car of choice for privateer competitors.
In 1938, the brothers sold the company to Adolfo Orsi. They were retained on a 10-year contract, and after World War II, Ernesto designed a road going sports car, the Tipo A6, which was unveiled at the 1947 Salon Internationale de l’Auto at Geneva. With their contract fulfilled, the Maserati brothers departed at the end of the year to found OSCA, leaving Orsi’s son Omer to concentrate on the production of road cars.
From 1952 through to 1957, Maserati cleaned up on the race track, winning seven World Championships and dominating Formula One, in large part due to lead driver Juan-Manuel Fangio. Emphasis then changed to road cars of the gran turismo class as the 3500 GT was introduced in 1957 at Geneva. The 3500 GT was powered by a 220 brake horsepower, hemi-head, 3,485-cubic centimetre inline six-cylinder, and it was available as either a 2+2 coupé or convertible. The coupé was wrapped in an aluminium superleggera body by Touring of Milan, whilst the convertible body was by Vignale.
Although the complete history of this 3500 GT is not known, it is confirmed that the car was previously owned by a Mr Stolze in Holland, who purchased it from a Mr Oet. After its acquisition by the current consignor, it was completely restored between 2007 and 2008. Since the original engine was no longer with the car, a very early example of the correct type was sourced and installed. A full body-off restoration was undertaken by the present owner, and the work performed was photographically documented and is available for inspection. This work included stripping the body to bare metal, priming and painting it in deep gloss black, and performing a careful nut-and-bolt rebuild to exceptional standards. The brightwork is all of the finest order, and the interior has been re-upholstered in beige leather, which is nicely contrasted by black carpeting. The Jaeger speedometer shows just test mileage since completion, and the engine and drive line have been recently detailed.
Fewer than 2,000 Maserati 3500 GT Coupés were built. These cars represent excellent value for money in today’s market, and they rival many of the finest cars built in the era. This example must be one of the finest restored available, and as such, it remains simply stunning.
En 1926, Alfieri ouvrait l'Officine Alfieri Maserati SpA, à Bologne. Il récupérait ensuite l'équipement et les pièces de compétition fabriqués par Diatto, le constructeur turinois, changeait le nom de la Diatto de course pour la nommer Maserati Tipo 26, et sa voiture remportait sa catégorie à la Targa Florio. Les succès arrivaient ensuite progressivement, entre les mains d'Alfieri et d'Ernesto, mais Alfieri disparaissait en 1932. Ernesto lui succédait comme ingénieur en chef, Ettore rejoignait la famille en 1930 pour devenir directeur de l'entreprise, Bindo passant deux ans plus tard directeur commercial. Les Maserati devenaient alors les voitures préférées des pilotes privés.
En 1938, les frères cédaient leur entreprise à Adolfo Orsi. Ils restaient liés par un contrat de dix ans et, après la seconde Guerre Mondiale, Ernesto concevait une voiture de route, le Tipo A6, dévoilé en 1947 au Salon de Genève. Leur contrat rempli, les frères Maserati quittaient à la fin de l'année l'entreprise portant leur nom et fondaient OSCA, laissant Omer Orsi, fils d'Adolfo, se concentrer sur la production de voitures de route.
De 1952 à 1957, Maserati écumaient les circuits de compétition, remportant sept titres de Championnat du Monde et dominant la Formule 1, grâce en grande partie au champion Juan-Manuel Fangio. L'accent était mis ensuite sur les voitures de route de catégorie Grand Tourisme et la 3500 GT était présentée au Salon de Genève 1957. Elle était équipée d'un six-cylindres en ligne double arbre et double allumage de 3 485 cm3, développant 220 ch, et elle était disponible soit en version coupé 2+2, soit comme cabriolet. Le coupé était habillé d'une carrosserie aluminium fabriquée selon la technique superleggera du carrossier milanais Touring, alors que le cabriolet était réalisé par Vignale.
Bien que l'histoire de cette 3500 GT ne soit pas connue dans son intégralité, il est confirmée qu'elle appartenait auparavant à un M. Stolze, en Hollande, qui l'avait achetée auprès d'un M. Oet. Après son acquisition par son propriétaire actuel, la voiture bénéficiait d'une restauration complète entre 2007 et 2008. Ne disposant plus de son moteur d'origine, un exemplaire correct des débuts était acheté et installé. La carrosserie connaissait une restauration avec mise à nu de la coque par le propriétaire, des photos témoignant des travaux effectués. Ceux-ci incluaient un décapage complet de la carrosserie, puis une préparation et une peinture d'une teinte noire profonde, accompagnée d'une reconstruction minutieuse menée selon des standards de qualité de haut niveau. Les chromes et finitions offrent une présentation superbe et l'intérieur a été refait en cuir beige, ce qui constitue un contraste élégant avec les tapis noirs. Le compteur de vitesses Jaeger ne montre que le kilométrage effectué pour tester la voiture, et la présentation du moteur et de la transmission a été particulièrement soignée.
La production de coupés Maserati 3500 GT est restée inférieure à 2 000 exemplaires. Ces voitures représentent un excellent rapport intérêt/prix sur le marché actuel, car elles sont à la hauteur des meilleures sportives de leur époque. Cet exemplaire, tout simplement superbe, est sans doute l'un des mieux restaurés parmi ceux qui sont disponibles sur le marché.