2003 Ferrari Enzo

{{lr.item.text}}

€4,055,000 EUR | Sold

{{bidding.lot.reserveStatusFormatted}}

  • A beautifully specified example of Ferrari’s game-changing hypercar
  • Finished in the striking stealth combination of Nero over Pelle Nera
  • Certified by Ferrari Classiche in 2009 and accompanied by its coveted “Red Book”
  • A French-delivery example supplied new via Charles Pozzi SA
  • Serviced by SF Côte d'Azur, Cannes in November 2022; new clutch fitted
  • Odometer reads just 17,474 kilometres at the time of cataloguing
  • L'hypercar révolutionnaire de Ferrari, dans une version aux magnifiques caractéristiques
  • D'une éblouissante discrétion, noire avec intérieur noir Pelle Nera
  • Certifiée par Ferrari Classiche en 2009 et en possession de son très convoité Red Book
  • Exemplaire destiné à la France, livré neuf par Charles Pozzi SA
  • Entretien effectué en novembre 2022 par SF Côte d'Azur, à Cannes ; embrayage remplacé
  • Seulement 17 474 km au compteur lors de l'édition du catalogue
Addendum
Please note this vehicle is currently undergoing registration in France and the French Certificat D'Immatriculation will follow post-sale.

Veuillez noter que ce véhicule est en cours d'immatriculation en France et que sa carte grise française sera transmise après la vente.

From his earliest days leading the Grand Prix titans of the Alfa Romeo stable to the final, game-changing supercar launched shortly before his death, Enzo Ferrari was resolutely committed to creating world-beating machines. Whether sitting at the pinnacle of motorsport or within the pages of magazine centrefolds, cars that wore the Prancing Horse represented the very cutting edge of technology and style. Fitting, then, that the car built in his honour—the Ferrari Enzo—would exemplify everything that had seen the Maranello marque grow from a boutique producer of sports racers to one of the most coveted and desirable badges in automotive history.

Like the great halo models that came before, the Enzo was created to push the envelope of road car performance, utilising technology derived from the top-flight of motorsport and otherworldly styling from long-term partner Pininfarina. Constructed from lightweight carbon fibre and aluminium, the Enzo’s advanced chassis was clothed in composite bodywork styled by the carrozzeria’s Ken Okuyama and shaped by wind-tunnel testing. Influenced by the firm’s leading grand prix cars, the rakish nose struck a tone carried over to the rest of the coachwork, with subtle ground-effect aerodynamics and a small active spoiler in place of its predecessor, the F50’s, outrageous rear wing.

At the Enzo’s heart lay an all-new, mid-mounted, 5,998-cc V-12 engine capable of producing a staggering 651 horsepower—greater than the output of any of its rivals. But it wasn’t just the headline power figure that impressed, but how it was delivered, with an addictive combination of low-down torque, the aggressive snap of acceleration with each shift of the paddles, and the dizzying howl as the needle approaches the 8,200 rpm redline. Like its top-of-the-range forebears, the Enzo set a new benchmark for performance and design, and, due to a production run that numbered just 400 examples, has since become one of the preeminent collector cars of the modern era.

With its landmark performance, modern styling and hugely advanced powertrain, the Enzo is a technological tour de force that would take pride of place in any collection of modern hypercars. And while many buyers opted for the classic Rosso Corsa combination that evoked the spirit of its predecessors, others chose to take the road less travelled when it came to colour. Chassis 128786 is one such example, and was ordered new in the striking combination of Nero over a Pelle Nera interior. More stealth fighter than Red Arrow, the Enzo was further configured with practical large-sized racing seats, and contrasting Rosso instruments and harnesses.

Construction of the Ferrari began on 11 February 2003, and on 17 March of that year the Enzo rumbled out of the Maranello workshops under its own power. Destined for France, the car was delivered new via long-term Ferrari concessionaire Charles Pozzi SA to its first owner in May 2004. Six years after leaving Maranello, the Enzo was certified by Ferrari Classiche, receiving its coveted “Red Book” in December 2009.

The car is believed to have spent most of its life on the Côte d'Azur in the care of just two owners, receiving its first service at Auto Palace S.A., Cannes in March 2009. Its next service was carried out by Monaco Motors in August 2011, and in September 2014 the car received a raft of maintenance work at official Ferrari dealer Riller & Schnauk in Berlin; accompanying invoices amount to more than €16,000. The Enzo received two further services from Monaco Motors in May 2019 and September 2021. On 2 November 2022, the Enzo received €30,000-worth of maintenance at SF Côte d'Azur, Cannes that included a full service, replacement of the clutch, and a new exhaust silencer.

For the Maranello faithful, the growing interest in the Ferrari Enzo will come as no surprise. Not only is it one of the most technologically advanced hypercars of its generation, it is also a landmark model for the Modena firm. And while each of the 400 is special, those finished in such rare and desirable colour combinations as this Nero over Nera example are justifiably the most collectable of all.

Depuis ses débuts, lorsqu'il triomphait sur les grandioses voitures de Grand Prix de l'écurie Alfa Romeo, jusqu'à sa dernière et révolutionnaire supercar lancée peu avant sa mort, Enzo Ferrari s'est totalement impliqué dans la création de championnes de classe mondiale. Qu'elles soient présentes au sommet du sport automobile ou dans les pages centrales des magazines, les voitures au Cheval cabré ont toujours représenté la pointe de la technologie et du style. Il ne faut donc pas s'étonner que la voiture créée en son honneur, la Ferrari Enzo, incarne tout le chemin parcouru par la marque de Maranello, de l'atelier de construction de voitures de sport des débuts à l'une des marques les plus convoitées et les plus rentables de l'histoire de l'automobile.

Comme tous les modèles phares précédents, l'Enzo a été créée pour repousser les limites des performances sur route, en alliant la technologie issue du meilleur de la compétition à un style sans pareil dû à un partenariat de longue date avec Pininfarina. Son châssis perfectionné, construit avec légèreté en aluminium et fibre de carbone, était coiffé d'une carrosserie en composite due à un membre de la carrozzeria, Ken Okuyama, et modelée par des essais en soufflerie. Inspiré par les meilleures voitures de Grand Prix du constructeur, son avant provoquant lui donnait une allure qui s'étendait au reste de la carrosserie ; il se complétait de discrets artifices aérodynamiques assurant un effet de sol et d'un petit spoiler actif remplaçant l'outrancière aile arrière de sa devancière, la F50.

Au cœur de l'Enzo se trouvait un tout nouveau V12 central de 5 998 cm3 délivrant 660 chevaux, une puissance stupéfiante, plus élevée que celle de n'importe quelle rivale. Mais ce n'était pas tellement la puissance maximale qui était impressionnante, c'était surtout la façon dont elle était délivrée, avec une combinaison addictive de couple à bas régime, d'accélération rageuse à chaque pression sur les palettes de la boîte et de l'envoûtant hurlement qui se manifestait à l'approche des 8 200 tr/min de la zone rouge. Comme ses devancières du sommet de la gamme, l'Enzo avait créé de nouvelles références en matière de performances et de style, et, du fait de sa production limitée à quatre cents exemplaires, elle est devenue l'un des premiers modèles de collection de l'époque moderne.

Ses performances de références, son style moderne et son groupe motopropulseur hautement perfectionné font de l'Enzo un tour de force qui aurait sa place dans toute collection d'hypercars modernes. Et si de nombreux acheteurs ont choisi le rouge Rosso Corsa traditionnel de ses devancières, d'autres ont choisi de prendre la route de façon plus discrète. Le châssis 128786 proposé, commandé dans la remarquable harmonie noire avec intérieur noir Pelle Nera, en est un exemple. Plus chasseur furtif que membre de la patrouille acrobatique de la Royal Air Force, cette Enzo a par ailleurs été commandée avec des sièges course de grande taille et des instruments et des harnais contrastés, de couleur rouge.

Sa construction démarra le 11 février 2003 et, le 17 mars suivant, elle sortit en rugissant des lignes de Maranello. Elle était destinée à la France, et fut livrée neuve à son premier client en mai 2004 par le concessionnaire de longue date Charles Pozzi SA. Six ans après avoir quitté Maranello, elle fut certifiée par Ferrari Classiche et reçut son très convoité Red Book en décembre 2009.

On pense que la voiture a passé le plus clair de son temps sur la Côte d'Azur, alors qu'elle était entre les mains de seulement deux propriétaires. Son premier entretien a été effectué en mars 2009 par Auto Palace S.A., à Cannes, et le suivant en août 2011 par Monaco Motors. En septembre 2014, une série de travaux d'entretien a été menée par le concessionnaire officiel Riller & Schnauk, de Berlin, pour un montant de plus de 16 000 Euros, ainsi qu'en attestent les factures présentes au dossier. Deux autres entretiens ont été assurés en mai 2019 et septembre 2021 par Monaco Motors et le 2 novembre 2022, SF Côte d'Azur, à Cannes, a effectué pour 30 000 euros de travaux dont un entretien complet, un changement d'embrayage et un nouveau silencieux d'échappement.

Les fidèles de Maranello ne sont pas surpris de l'intérêt croissant que suscite l'Enzo. Ce n'est pas seulement l'hypercar la plus perfectionnée de sa génération, c'est aussi un modèle phare de la firme de Maranello. Et si chacune des quatre cents produites est spéciale, celles qui sont d'une harmonie de teintes aussi rare et séduisante que celle-ci, noire à intérieur noir Pelle Nera, sont à juste titre les plus dignes d'être collectionnées.