1959 Ferrari 250 GT Coupé by Pinin Farina
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€390,000 - €500,000 EUR | Not Sold
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- The seventh Series II 250 GT Pinin Farina coupé built
- Beautifully restored in Blue Notte over tan leather
- Class winner at the Warren Concours d’Elegance
- Ferrari Classiche Certified
- Septième exemplaire du coupé 250 GT Série II Pinin Farina
- Magnifiquement restauré en bleu nuit Blue Notte et cuir brun
- Victorieux dans sa catégorie au Concours d'élégance Warren
- Certifié par Ferrari Classiche
This 250 GT coupé was the seventh second-series example produced and delivered new to Giacomo Cuoghi, who resided in Modena, not far from Ferrari’s own facilities. In February 1967 ownership passed to Andreoli Vittoria, who then sold 1533 GT to Tom Meade a little over two years later. Meade quickly sold it on to Rip Martin of Los Angeles on 2 July 1969, noting that it was now fitted with a different but correct-type engine (which the car retains today), and it was promptly exported. By 2006 it was with William Senyak as a restoration project. It was imported to England via Tom Shaughnessy in 2012. Soon after arriving in England, a comprehensive restoration was performed by GTB Restorations.
Finished elegantly in Blue Notte (Dark Blue) with the interior trimmed in supple Connolly hides of tan leather, this fastidiously restored 250 GT is stunning in every detail. Along with the cosmetic restoration, all the mechanicals were fully rebuilt. The superb quality of this classic Ferrari has been rewarded with invitations to several classic car shows, including the 2017 Warren Concours d’Elegance in England, where it garnered a class win. In addition, the restoration was featured in the February 2018 issue of Classic Cars magazine. Recent expenditure with Joe Macari Performance Cars, an official Ferrari service centre in London, to achieve Classiche certification includes fitment of the correct-type Borrani wheels and further detail work.
The PF coupé is a grand touring machine in the greatest Italian tradition. More at home cruising the coastline of the South of France than rocketing down the Mulsanne Straight, these cars were built for the individual that respected Ferrari’s racing pedigree yet wanted something more civilized and comfortable than its racing counterparts. Chassis 1533 GT fits this description perfectly.
Ce coupé 250 GT est le septième produit dans la Série II ; il fut livré à Giacomo Cuoghi, de Modène, non loin des usines Ferrari. Il fut revendu en février 1967 à Andreoli Vittoria, qui céda un peu plus de deux ans plus tard ce châssis 1533 GT à Tom Meade. Celui-ci se dépêcha de le revendre le 2 juillet 1969 à Rip Martin, de Los Angeles, en lui indiquant que la voiture était désormais équipée d'un moteur conforme mais différent (toujours présent) ; elle fut promptement exportée. Elle se retrouva en 2006 chez William Senyak, qui projetait de la restaurer. En 2012, elle fut exportée en Angleterre par les soins de Tom Shaughnessy et peu après son arrivée sur place, GTB Restorations en effectua une restauration complète.
D'un élégant bleu nuit Blue Notte avec intérieur garni de cuir Connolly brun d'une belle souplesse, cette 250 GT minutieusement restaurée est éblouissante jusque dans ses moindres détails. En parallèle de la restauration d'aspect, toute la mécanique a été entièrement refaite. Le magnifique état de cette Ferrari de collection lui a valu d'être invitée à de nombreuses manifestations consacrées à des voitures de collection, dont en Angleterre le Concours d'élégance Warren de 2017, où elle a remporté une victoire dans sa catégorie. Sa restauration a par ailleurs fait l'objet d'une mention dans le numéro de février 2018 du magazine Classic Cars. Parmi les récents travaux effectués par Joe Macari Performance Cars, un centre Ferrari officiel de Londres, dans le but d'obtenir la certification Classiche, figure entre autres le montage des roues Borrani de la bonne définition.
Ce coupé PF est une GT dans la plus grande tradition italienne. Ces voitures, davantage faites pour circuler le long des côtes du Midi de la France que pour foncer dans la ligne droite de Mulsanne, étaient destinées à ceux qui respectaient le pedigree sportif de Ferrari tout en désirant quelque chose de plus civilisé et de plus confortable que ses bolides de course. Le châssis 1533 GT répond parfaitement à cette attente.