1962 Ferrari 250 GT Cabriolet Series II by Pininfarina
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€1,232,000 EUR | Sold
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- The second-to-last 250 GT Cabriolet Series II built
- Offered from 15 years of private ownership
- Includes a factory hardtop
- Avant-dernière 250 GT cabriolet Série II produite
- Même propriétaire depuis 15 ans
- Livrée avec un hard-top d'usine
Merci de noter que contrairement à la description faite dans notre catalogue, la certification Ferrari est en cours et le certificat n'est pas encore présent.
240 bhp, 2,953 cc SOHC 60-degree V-12 with three Weber 36 DCS carburettors, four-speed synchromesh manual transmission with overdrive, independent front suspension with unequal-length upper and lower A-arms, coil springs, an anti-roll bar, and Koni hydraulic shocks; solid rear axle with semi-elliptical leaf springs, trailing arms, and Koni hydraulic shocks; and four-wheel Dunlop hydraulic disc brakes. Wheelbase: 2,600 mm
Moteur V12 à 60°, 2 953 cm3, 240 ch, 1 ACT par banc, trois carburateurs Weber 36 DCS, transmission manuelle quatre rapports synchronisés avec overdrive ; suspension avant indépendante avec triangles inégaux, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs Koni et barre antiroulis, essieu arrière rigide avec ressorts semi-elliptiques et amortisseurs Koni ; freins à disques Dunlop sur les quatre roues. Empattement 2 600 mm.
Offering a wholly different driving experience when compared to Ferrari’s race-ready offerings, the 250 GT Cabriolet was marketed as a true gentleman’s grand tourer, designed for high-speed driving in comfort. With the performance one would expect from Maranello’s finest, the cabriolet gave no concessions to luxury and was exquisitely trimmed and appointed to please Ferrari’s most demanding clientele. With a spacious boot that could hold more than enough luggage for two for a long-weekend trip, this was the ideal touring car for the California coast or the South of France.
The second-series 250 GT Cabriolet was first shown at the 1959 Paris Motor show and offered a number of stylistic changes and mechanical updates over the first series cabriolet. These new cars featured open headlamps with a slightly more rounded nose and rear fenders with elongated tail lamp lenses. More interior space was added to improve passenger comfort, and the trunk was made slightly larger as well. Performance was also addressed, and the Series II cars received disc brakes all around, as well as the latest iteration of the Colombo V-12 engine, designated Tipo 128F.
In this new engine, the spark plugs were relocated to the outside (rather than in-between the V), and the coil-valve springs were substituted for hairpins. This new architecture allowed for more head studs per cylinder and non-siamesed porting. This resulted in a better breathing engine with improved torque and reliability. To boot, the 128F also facilitated far easier and quicker changing of the plugs, to the enduring relief of both mechanics and owners alike.
According to marque historian Marcel Massini, chassis number 3083 GT is the second-to-last of just 200 Series II Cabriolets constructed. Finished in Bianco Pertito (Salchi 254416) over a Blu (Connolly VM 3015) leather interior, it was completed in the fall of 1962. After completion by the factory, the car remained in its native Italy and was sold new through Autorimessa Crivellari of Venice to Amadeo Dalle Molle of Padova in February of 1963. By 1972, the car had made its way across the Atlantic and was owned by Mr Howard Sheronas in Miami, Florida. Passing to a second owner in Florida, Mr Robert Cressman, chassis number 3083 was shown during the early 1980s, including a photographed appearance at the Ferrari Club of America Palm Beach Polo Club meeting in 1980. In 1990, the car returned to Europe, via Belgium, before being purchased in 1995, when it was purchased by Tom Walduck, a collector residing in the United Kingdom.
Acquired by the consignor in July of 2001, the car has always been properly maintained and enjoyed on a regular basis, even on extended trips to Spain. It is offered with substantial history files, including many invoices and receipts from its current ownership. Furthermore, it is worthwhile noting that the engine was rebuilt in December of 2014. Today, the car remains in splendid condition and is ready to be driven and enjoyed on the open road.
As its status as one of the last Series II Cabriolets constructed, chassis 3803 GT stands out as a highly interesting example of one of Ferrari’s true open-top GT cars. Ready to be driven by its next custodian, the car holds countless opportunities for enjoyment, as it would make a wonderful driver or an ideal basis for a restoration to be returned back to its original Bianco Pertito over Blu colour combination, a colour scheme seldom seen on Ferraris of any era. There is no question that this lovely Series II Cabriolet would only lead to interesting discussions and the finest of compliments while out and about.
Offrant des sensations de conduite radicalement différentes de celles des Ferrari destinées à la compétition, la 250 GT cabriolet était présentée comme une vraie grande routière de gentleman, conçue pour les voyages confortables à vitesse élevée. Tout en offrant les performances que l'on pouvait attendre des meilleures voitures de Maranello, le cabriolet ne sacrifiait pas le luxe et il était magnifiquement équipé et fini, pour satisfaire les clients Ferrari les plus exigeants. Avec un coffre spacieux qui pouvait largement recevoir les bagages pour deux personnes lors d'un départ en week-end, elle était idéale pour voyager sur la côte californienne ou dans le sud de la France.
La 250 GT cabriolet deuxième série était dévoilée au Salon de Paris 1959 et présentait plusieurs modifications esthétiques et mécaniques par rapport à la première version. Ainsi, elle comportait des phares découverts et un avant légèrement plus arrondi, avec des ailes arrière portant des feux plus allongés. L'intérieur était plus spacieux pour améliorer le confort des occupants, et le coffre était lui aussi un peu plus vaste. Les performances n'étaient pas oubliées et la Série II recevait des freins à disque sur les quatre roues, de même que la dernière évolution du moteur V12 Colombo, désigné Tipo 128 F.
Sur ce nouveau moteur, les bougies étaient situées à l'extérieur du V (plutôt qu'au centre), et les ressorts hélicoïdaux de soupapes étaient remplacés par des ressorts en épingle. Cette nouvelle architecture laissait la place pour un plus grand nombre de goujons par cylindre, et pour des conduites différentes. Il en résultait un moteur qui respirait mieux, avec un couple et une fiabilité améliorés. De plus, le moteur 128F rendait le remplacement des bougies plus facile et plus rapide, au grand soulagement des mécaniciens et des utilisateurs.
D'après l'historien de la marque Marcel Massini, le numéro de châssis 3083 GT correspond à l'avant-dernier des 200 exemplaires de cabriolets deuxième série. De teinte "Bianco Pertito" (Salchi 254416) avec sellerie "Blu" (Connolly VM 3015), la voiture est sortie des ateliers à l'automne 1962. Restant en Italie, elle était vendue en février 1963 par le biais d'Autorimessa Crivellari, de Venise, à Amadeo Dalle Molle, de Padoue. En 1972, elle avait traversé l'Atlantique et appartenait à M. Howard Sheronas, de Miami, en Floride. Achetée par un deuxième amateur de Floride, M. Robert Cressman, elle effectuait des apparitions publiques au début des années 1980, comme la rencontre du Ferrari Club of America au Palm Beach Polo Club, en 1980, où elle était photographiée. En 1990, cette voiture revenait en Europe, via la Belgique, avant d'être achetée en 1995 par Tom Walduck, un collectionneur basé en Grande-Bretagne.
Acquise en juillet 2001 par son actuel propriétaire, la voiture a été correctement entretenue et régulièrement utilisée, effectuant même de longs voyages jusqu'en Espagne. Elle est proposée avec ses dossiers historiques complets, dont un grand nombre de factures et reçus. Par ailleurs, il est intéressant de noter que le moteur a fait l'objet d'une reconstruction en décembre 2014. Aujourd'hui, elle se présente en superbe état et elle est prête à être utilisée en toute liberté sur route ouverte.
Venant de recevoir sa certification Ferrari Classiche, de même que la confirmation qu'il s'agit de l'avant-dernière 250 GT Série II cabriolet produite, cette voiture portant le n° de châssis 3803 GT se distingue comme un exemplaire particulièrement intéressant d'une des vraies Ferrari GT cabriolet. Prête à être utilisée par son prochain propriétaire, elle offre de nombreuses opportunités de plaisir ; elle fera une merveilleuse voiture de balade ou de voyage, ou une base de restauration idéale pour revenir à ses teintes d'origine, "Bianco Pertito" et "Blu", combinaison rare sur une Ferrari, quelle que soit son époque. Lors de ses sorties, cette Série II cabriolet provoquera à coup sûr des discussions intéressantes et déclenchera les plus beaux compliments.