340 bhp, 425 cu. in. OHV V-8 engine, two-speed Twin-Turbine Drive automatic transmission, independent front suspension with double wishbones and coil springs, live rear axle with trailing arms, lateral track bar, and coil springs, and four-wheel finned aluminium hydraulic drum brakes. Wheelbase: 2,972 mm
Moteur V8, 425 ci (6 964 cm3), soupapes en tête, 340 ch, transmission automatique Twin-Turbine Drive deux rapports, suspension avant indépendante à doubles triangles et ressorts hélicoïdaux, pont arrière rigide avec bras tirés, jambe de force latérale et ressorts hélicoïdaux, freins hydrauliques à tambours ailetés sur les quatre roues. Empattement 2 972 mm.
Introduced for the 1963 model year, the Buick Riviera is rightfully recognised as a watershed of modern automotive design. Its origins are rooted in the Corvette-Thunderbird rivalry of the mid-1950s, during which Ford’s ‘personal luxury car’ soundly outsold the Corvette. The Thunderbird went on to post even higher sales with the enlarged ‘Square Bird’ of 1958–60, a trend that Bill Mitchell, GM’s newly crowned and formidable design chief, did not take lightly.
Mitchell spied a Rolls-Royce while attending the 1959 London Motor Show. Already a devoted enthusiast of Ferraris, he decided to combine his favourite styling cues from both manufacturers in project XP-715, originally conceived as the LaSalle II for Cadillac and subsequently handed over to Buick as the Riviera. It featured aggressive frontal styling with contemporary Ferrari-like cues and distinctive sharp-edged fenders and roofline, largely the creation of Mitchell’s deputy Ned Nickels. The result was a massive success and defined American luxury for a generation.
The handsome Burgundy car shown here was purchased by the current owner’s father and has been part of the family’s personal collection of well-chosen automobiles since. It is almost entirely original, including its well-kept paint and interior, and sports chrome wire wheel covers, narrow whitewall tyres, and Sonomatic radio with rear seat speaker. Recording 53,528 miles at the time of cataloguing, it is certainly one of the nicest all-around Rivieras surviving worldwide and is accompanied by its FIVA Passport.
Présentée pour le millésime 1963, la Buick Riviera est considérée à juste titre comme un tournant dans le design automobile moderne. Ses origines remontent à la rivalité Chevrolet Corvette-Ford Thunderbird du milieu des années 1950, à l'issue de laquelle la Ford prenait nettement le dessus en termes de chiffres de vente. Ils augmentaient encore avec la "Square Bird" de 1958-1960, plus imposante : cette tendance était prise très au sérieux par Bill Mitchell, récent et brillant directeur du design de GM.
Mitchell profitait du Salon de Londres 1959 pour observer une Rolls-Royce en détail. Déjà passionné de Ferrari, il décidait de combiner les traits de style qu'il préférait chez les deux constructeurs dans son projet XP-715, conçu initialement comme une LaSalle II pour Cadillac et finalement transféré chez Buick pour devenir la Riviera. Elle comportait un avant agressif, avec un style évoquant Ferrari, et des ailes et un toit tracés selon une ligne acérée caractéristique, due en grande partie à Ned Nickels, adjoint de Mitchell.
La superbe voiture bordeaux présentée ici a été achetée par le père de son actuel propriétaire et fait partie depuis de la collection de voitures soigneusement choisies de la famille. Elle est presque entièrement d'origine, y compris son intérieur bien préservé, ses enjoliveurs de roues à rayons chromés, ses pneus étroits à flancs blancs et son autoradio Sonomatic avec haut-parleur à l'arrière. Affichant 53 528 miles au moment d'écrire ce catalogue, il s'agit sans aucun doute d'une des plus belles survivantes de Riviera, et elle est accompagnée de son passeport FIVA.