1963 Jaguar E-Type Series 1 3.8-Litre Fixed Head Coupé
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€123,200 EUR | Sold
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- Matching-numbers example of a desirable first-series E-Type
- Recent complete restoration; finished in a stunning colour combination
- Includes a Jaguar Daimler Heritage Trust Certificate
- Exemplaire à numéros concordants (matching numbers) d'une désirable Type E de Série 1
- Récente restauration complète ; présente une superbe combinaison de couleurs
- Comporte un certificat du Jaguar Daimler Heritage Trust
265 hp, 3,781 cc DOHC inline six-cylinder engine, four-speed manual transmission, independent front suspension with semi-trailing wishbones, torsion bars, telescopic shock absorbers, an anti-roll bar, independent rear suspension with lower transverse tubular links, radius rods, twin coil springs, and telescopic shock absorbers, and four-wheel disc brakes. Wheelbase: 2,438 mm.
Moteur six-cylindres en ligne, 3 781 cm3, 265 ch, 2 ACT, boîte manuelle quatre rapports, suspension avant indépendante par doubles triangles, barres de torsion, amortisseurs télescopiques et barre antiroulis, suspension arrière indépendante avec bras tubulaires inférieurs transversaux, bielles de réaction, doubles ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques, freins à disque sur les quatre roues. Empattement 2 438 mm.
Upon its release in 1961, the Jaguar E-Type was called “the most beautiful car in the world” by Enzo Ferrari, and it continues to stun today with its looks, style, performance, and lasting impression.
By 1960, Jaguar had won five Le Mans championships and was largely regarded as one of the most fearsome builders of serious sports cars in the world. However, their production cars had a slightly less ideal status, as the XK150 was luxurious but hardly worthy of the sporty racing company, and as such, the XKSS was unfortunately short-lived. In order to marry the winning racing performance of the D-Type with the luxury and class of the XK150, the engineers at Jaguar would have to come up with something completely new.
Most cars in the 1960s were constructed with the body on the frame, drum brakes, and a live rear axle, and they hadn’t evolved much from the 1950 examples. The Jaguar E-Type truly took after its racing cousins, as the engineers gave it a monocoque body, four-wheel independent suspension, disc brakes, and an elegant styling designed by Malcolm Sayer.
The performance of the car wasn’t outshined by its looks either. With a top speed recorded at 150 mph and acceleration at a quick 0–60 in seven seconds, the E-Type was one of the fastest cars in its category. And, perhaps the most frightening factor for competing manufacturers was that it came at the right price. The brand-new Jaguar E-Type cost only £2,097, which was just slightly over half of what the Aston Martin DB4 sold for.
The first-series cars, like the one offered here, are recognised for their glass-covered headlamps, a smaller opening at the front, signal lights and taillights above the bumpers, and exhaust tips under the number plate in the rear. The Series 1 E-Types are often considered the most distinct and most desirable models, and the recently restored version here is a true beauty.
This Jaguar, a factory left-hand-drive example originally imported to the United States, is a matching-numbers car with all of its original parts. Full restoration photographs which detail the entire process are available for review, and included with the car are a set of tools and a jack, as well as a certificate from the Jaguar Daimler Heritage Trust.
This E-Type was recently driven by an RM car specialist, and he reports that it drives remarkably well. The engine pulls with authority, the gearbox shifts smoothly, and the suspension keeps the car firmly planted around the corners. This Jaguar is eligible for numerous driving events, including the Tour Auto, and it would make for an exceptional car on the run.
Enzo Ferrari wasn’t lying when he called the E-Type the most beautiful car in the world and this Series 1 shows itself worthy of that title.
Qualifiée de « plus belle voiture du monde » par Enzo Ferrari lors de sa présentation en 1961, la Jaguar Type E continue aujourd'hui à impressionner par son allure, son style et ses performances.
En 1960, avec à son actif cinq victoires aux 24 Heures du Mans, Jaguar était considéré comme un des plus redoutables constructeurs de voitures de compétition. Cependant, son image dans le domaine des voitures de série était un peu moins brillante ; la XK 150 S était une voiture luxueuse mais pas vraiment sportive, et la XKSS n'avait connu qu'une très brève carrière. S'ils voulaient combiner les performances brillantes de la Type D avec le luxe de l'XK 150, les ingénieurs devaient réfléchir à un modèle complètement nouveau.
Au début des années 1960, la plupart des voitures de série étaient encore construites avec un châssis séparé, des freins à tambours, un essieu arrière rigide et n'avaient pas beaucoup évolué depuis les années 1950. La Jaguar Type E s'est au contraire vraiment inspirée de ses cousines de compétition ; les ingénieurs lui ont donné une structure monocoque, une suspension à quatre roues indépendantes, des freins à disque et un style élégant signé de Malcolm Sayer.
Les performances de la voiture étaient à la hauteur de sa ligne étonnante. Avec une vitesse de pointe de 240 km/h et une accélération de 0 à 100 km/h en 7 secondes, la Type E était une des voitures les plus rapides de sa catégorie. Mais ce qui était peut-être le plus affolant pour les autres constructeurs, c'est que le prix était correct. La toute nouvelle Jaguar ne coûtait en Angleterre que 2 097 £, ce qui représentait un peu plus de la moitié du prix d'une Aston Martin DB4.
Les versions de première série, comme celle qui est présentée ici, sont reconnaissables à leurs phares couverts d'un profilage transparent, leur petite calandre ovale, leurs clignotants avant et arrière au-dessus des pare-chocs et leurs sorties d'échappement sous la plaque d'immatriculation arrière. Les Type E Série 1 sont souvent considérées comme les plus spécifiques et les plus désirables, et la présente version récemment restaurée est une vraie beauté.
Cette voiture, une conduite à gauche exportée à l'origine aux États-Unis, présente des numéros concordants, avec toutes les pièces d'origine. Des photos de la restauration complète sont disponibles, détaillant tous les travaux. La voiture comporte un jeu d'outils et un cric, ainsi qu'un certificat du Jaguar Daimler Heritage Trust.
Un spécialiste de RM a récemment pris le volant de cette Jaguar Type E, et il précise qu'elle fonctionne remarquablement bien. Le moteur accélère avec autorité, la boîte de vitesse est douce et la suspension assure un comportement ferme et sûr. Éligible pour de nombreux événements, dont le Tour Auto, cette Jaguar constitue une voiture exceptionnelle pour y prendre part.
Enzo Ferrari ne mentait pas en qualifiant la Type de plus belle voiture du monde, et cette Série 1 se montre à la hauteur de ce compliment.