The new 250 GT coupé introduced at the 1958 Paris Motor Show was a decisive step forward toward true series production for Ferrari. With this new coupé, Pinin Farina coachwork replaced the Boano- and Ellena-built cars, and 355 examples were built by the time production concluded. It was a true ‘gentleman’s Ferrari’ in every sense of the phrase, thanks to its elegant styling and luxurious interior. The new 250 GT ‘PF Coupé’ became Ferrari’s most commercially successful model.

Under the hood was Ferrari’s renowned 3.0-liter Colombo V-12, producing 240 hp at 7,000 rpm and topped with three twin-choke Weber carburettors. Born and developed in the crucible of motorsport, this engine provided the coupé with a top speed just shy of 150 mph, and it could reach 60 mph in seven seconds, which is impressive for a car of its class and faster than many comparable offerings from Aston Martin, Jaguar and Maserati.

The 221st of 355 coupés built, chassis no. 1555 GT entered the Pinin Farina plant on 15 September 1959 and is documented with a copy of its original build sheets, including the dyno sheet. In November of that year, finished in Rosso Rubino over Nero interior, it was delivered to official Ferrari dealer, Ferrari Representatives of California, and subsequently sold the following year to the original owner by Otto Zipper’s famed Competition Motor Sales of Hollywood.

Eventually the car was returned to Europe and was restored by the noted marque specialists Quality Cars to this stunning colour scheme of burgundy with a silver roof, with a correct ‘inside plug’ engine block supplied by Ferrari Classiche and has been awarded Ferrari Classiche Certification. In this form it was acquired by the current owner, who displayed the remarkable coupé at Ferrari’s 70th Anniversary celebrations and the associated Concours d’Elegance at Maranello this past September.

This is an exceptional example of a classic Ferrari design.

Le nouveau coupé 250 GT présenté au Salon de Paris 1958 constituait un pas en avant décisif vers une vraie Ferrari de série. Avec ce nouveau coupé, la carrosserie Pinin Farina remplaçait les voitures produites par Boano et Ellena, et 355 exemplaires ont été produits avant l'arrêt de la fabrication. C'était une vraie "Ferrari de gentleman" dans tous les sens du terme, grâce à un dessin élégant et un luxueux aménagement intérieur. Cette nouvelle 250 GT "coupé PF" est devenue la Ferrari la plus vendue de cette époque.

Le capot dissimulait le célèbre V12 Colombo 3 litres équipé de trois carburateurs Weber et développant 240 ch à 7 000 tr/mn. Ayant été conçu et mis au point dans le monde du sport automobile, ce moteur permettait au coupé d'atteindre 240 km/h et d'accélérer de 0 à 100 km/h en 7 s, ce qui est impressionnant pour une voiture de cette classe et plus rapide que de nombreuses machines comparables proposées à l'époque par Aston Martin, Jaguar et Maserati.

Cette voiture, châssis n°1555 GT, est la 221e de 355 coupés produits. Elle est entrée dans l'usine Pinin Farina le 15 septembre 1959 comme en témoigne une copie de sa fiche de fabrication d'origine, qui inclut une feuille de mesure au banc d'essai. En novembre de cette même année, de teinte "Rosso Rubino" avec intérieur "Nero", elle a été livrée à l'agent Ferrari officiel "Ferrari Representatives", en Californie, puis vendue l'année suivante à son premier propriétaire par la célèbre entreprise d'Otto Zipper, Competition Motor Sales, basée à Hollywood.

Par la suite, la voiture est revenue en Europe et a été restaurée par le spécialiste de la marque, Quality Cars, dans une très belle combinaison de couleurs bordeaux avec toit gris argent. Équipée d'un moteur correct à bougies au centre du V, fourni par Ferrari Classiche, elle a reçu ensuite la certification Ferrari Classiche. C'est sous cette forme qu'elle a été vendue au propriétaire actuel qui a exposé ce remarquable coupé Ferrari aux célébrations du 70e anniversaire de Ferrari, et au Concours d’Élégance organisé conjointement à Maranello en septembre dernier.

Il s'agit d'un exemplaire exceptionnel d'une Ferrari classique.