2006 Ferrari 575 Superamerica

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€218,400 EUR | Sold

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  • One of just eight 575 Superamericas delivered new to France
  • Highly optioned, including a HGTC handling package; one of two Superamericas delivered with that option to France
  • Under 8,000 kilometres from new
  • Ferrari Classiche certified
  • Une des huit 575 Superamerica livrées neuves en France
  • Nombreuses options, dont le pack Handling GTC ; une des deux Superamerica livrées en France avec cette option
  • Seulement 8 000 km d'origine
  • Certifiée Ferrari Classiche

540 bhp, 5,748 cc 65-degree V-12 engine, six-speed electro-hydraulic F-1 transmission, independent front and rear suspension with coil springs, telescopic shock absorbers with adaptive damping and anti-roll bars, and front and rear carbon-ceramic disc brakes. Wheelbase: 2,500 mm

Moteur V-12 à 65°, 5 748 cm3, 540 ch, boîte six rapports F1 électro-hydraulique, suspension avant et arrière indépendante avec ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques, amortissement adaptatif et barres antiroulis, freins à disques carbone-céramique sur les quatre roues. Empattement: 2 500 mm.

After the success of the Ferrari 550, the spiritual successor to the 365 GTB/4 ‘Daytona’, Ferrari realised that there would be a market for a convertible version of the car, just like the fabled Daytona Spider. The resulting car was the limited-edition 550 Barchetta Pininfarina. The Barchetta was mechanically identical to its hardtop sibling, and it was intended to be a pure roadster, offering the same feeling as Ferrari’s earlier barchetta models, like the 166 MM. As successful as the 550 Barchetta was, customers felt limited by the 550’s lack of a usable convertible top, and many chose to only use their cars for quick out-and-back jaunts, not for longer road trips. For the convertible variant of the 550’s replacement, the 575 Maranello, the factory responded to customers’ calls for a more usable top in dramatic fashion, creating a brand-new convertible top system that offered the freedom of the barchetta with the practicality and security of the berlinetta.

The resulting car was the 575 Superamerica. Undoubtedly the most interesting part of the car was its Revochromico rotating hardtop. It was the first roof of its kind ever fitted to a production car, and it was built using a carbon-fibre frame that was integrated with electrochromatic glass. The transparency of the glass could be adjusted from within the cabin to allow varying amounts of light in, letting roughly the same amount of light in as a conventional glass sunroof at its lightest setting and only 1% of the sun’s rays through at its darkest. With the press of a button, the Superamerica can be transformed into a convertible, with the roof rotating back to rest flush with the boot lid in just 10 seconds. Ferrari chose to produce just 559 examples, and every car was spoken for within weeks of its announcement.

In June 2006, this example, one of just eight Superamericas delivered new to France, was delivered to its first owner, who then sold it to its current owner in February 2009. This Superamerica is finished in Rosso Corsa over a beige interior, which has Daytona-style seats and red carpets, and is loaded with options, which include an F1-style transmission, a carbon-fibre package, red brake callipers, a battery tender, and the rare Handling GTC upgrade package. This package is considered to be the most desirable option for the 575 model range, as it adds to the car’s carbon-ceramic brake discs with racing pads and special callipers, 19-inch rims, a lowered suspension, a titanium racing exhaust, and a faster calibration for the steering rack, adding to the performance of an already capable supercar. In addition, the car has been certified by Ferrari Classiche and is accompanied by its certification binder.

The Revochromico roof, a feature never fitted to another production Ferrari, defines the character of the Superamerica: a world-class convertible supercar that is versatile enough to be used as a daily driver. This is a highly optioned example from the factory and includes the very desirable and rare HGTC package. It is finished in traditional Ferrari red over beige and is surely one of the most desirable examples produced. Superamericas rarely come available for purchase, and with just over 7,700 kilometres on its odometer, two owners from new, and Ferrari Classiche certification, this example is a must-have for the Ferrari enthusiast.

Après les succès de la Ferrari 550, héritière spirituelle de la 365 GTB/4 ‘Daytona’, Ferrari constatait qu'il pouvait y avoir un marché pour une version découvrable de la voiture, comme le fameux Spider Daytona. Il en a résulté la 550 Barchetta Pininfarina en série limitée. La Barchetta était mécaniquement identique à la version fermée, et elle était conçue comme un roadster pur et dur, dans le même esprit que les barquettes plus anciennes comme la 166 MM. Mais, même si la 550 Barchetta a rencontré le succès, les utilisateurs se sentaient un peu limités par l'absence de fermeture facile de l'habitacle, et ils sont nombreux à n'avoir sorti leur voitures que pour des sorties rapides, plutôt que de longs voyages. Pour la remplaçante de le 550, la 575 Maranello, l'usine a tenu compte de la demande des clients pour une fermeture de l'habitacle, adoptant un tout nouveau système de toit amovible qui offrait la liberté de la barquette avec les aspects pratiques et la sécurité de la berlinette.

Le résultat a été la 575 Superamerica. Sans aucun doute, la partie la plus intéressante de la voiture était son toit Revochromico rotatif. C'était le premier toit de ce type jamais installé sur une voiture de série, et il utilisait un cadre en fibre de carbone, avec du verre électrochrome. La transparence du verre pouvait être réglée de l'intérieur pour faire varier sa transparence, laissant passer à peu près la même lumière qu'un toit ouvrant classique sur son réglage le plus clair et seulement 1% des rayons du soleil sur le réglage le plus foncé. De plus, par simple pression sur un bouton, la Superamerica pouvait se transformer en barquette, le toit pivotant vers l'arrière pour se poser en 10 secondes à plat sur le coffre . Ferrari a choisi de limiter la production à 559 exemplaires, qui étaient tous vendus quelques semaines après la présentation de la voiture.

En juin 2006 cet exemplaire, une des huit Superamerica livrées neuves en France, était livré à son premier propriétaire, qui l'a ensuite cédé à son propriétaire actuel en février 2009. Cette Superamerica est de couleur Rosso Corsa avec intérieur beige, et comporte des sièges style Daytona et des moquettes rouges. Elle est équipée de très nombreuses options, comme une boîte de vitesses style F1, un pack fibre de carbone, des étriers de freins rouge, un chargeur de batterie et un rare pack Handling GTC. Cette dernière option est considérée comme la plus désirable de la gamme 575 et comporte des freins à disques en carbone-céramique avec plaquettes compétition et étriers spéciaux, des jantes 19 pouce, une suspension surbaissée, un échappement compétition en titane et une crémaillère de direction plus directe, ce qui permettait d'améliorer encore les performances par rapport à une supercar déjà très rapide. De plus, la voiture est accompagnée de son certificat Ferrari Classiche.

Le toit Revochromico, un système qui n'a jamais équipé une autre Ferrari de série, définit la personnalité de la Superamerica : une supercar de haut niveau, suffisamment polyvalente pour être utilisée quotidiennement. Le présent exemplaire est doté de très nombreuses options, qui incluent le très rare et désirable pack Handling GTC. De couleur rouge Ferrari traditionnelle, c'est surement un des exemplaires les plus désirables. Les Superamerica sont rarement proposées à la vente et, n'affichant qu'à peine plus de 7 700 km, avec deux propriétaires seulement et une certification Ferrari Classiche, cet exemplaire est incontournable pour un passionné de Ferrari.