2005 Ferrari Superamerica
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€600,000 - €800,000 EUR
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- One of only 43 examples made with a six-speed manual transmission
- Powered by a 5.7-litre, naturally aspirated V-12 engine delivering a 320 km/h top speed
- Odometer displays just 15,157 kilometres
- Offered with Ferrari manuals and a toolkit
- L'une des seulement 43 produites en boîte manuelle à six rapports
- Equipée d'un V12 atmosphérique de 5,7 litres lui assurant une vitesse de 320 km/h
- Seulement 15 157 km au compteur
- Proposée munie de ses brochures et de sa trousse à outils Ferrari
Ferrari’s front-mounted 12-cylinder GTs, no matter the era, exude the undying glamour of Maranello’s mid-century halcyon days. It is no coincidence, therefore, that the 2005-launched Superamerica revived a famous moniker first deployed 50 years earlier with the Ferrari 410 Superamerica. The earlier car was so exclusive it is reputed to have cost as much as two Mercedes-Benz 300 SLs, with former owners including Gianni Agnelli and even Enzo Ferrari himself.
Production of the 575M Maranello-based Superamerica was performed in-house, yet exclusivity remained, with just 559 made. Despite a ticket price 25 per cent higher than that of the 575M, all Superamericas were allegedly pre-sold by the time the production car was unveiled. The majority were specified with the automated “F1” transmission, with only 43 discerning drivers choosing the optional six-speed manual. The Superamerica offered here is one of those driver-focussed machines.
Designed and patented by Pininfarina master stylist Leonardo Fioravanti—the man responsible for the 288 GTO—the Superamerica’s party piece was undoubtedly its rearward-rotating “Revocromico” roof. Aping his Alfa Romeo Vola concept, Fioravanti’s vision for the Superamerica incorporated a roof mechanism that flipped its glass lid 180 degrees onto the rear deck in less than 10 seconds. As if that wasn’t innovative enough, the drop-top was supported by a bespoke carbon-fibre frame—made in conjunction with Saint-Gobain—and formed from a single pane of electrochromic glass, able to change through five driver-selected tints.
The Superamerica’s Tipo F133G engine was a tuned version of the 575M Maranello’s 5.75-litre V-12, making an additional 25 horsepower thanks to optimised gas flow of the intakes and cylinder heads. A revised, back-pressure reducing exhaust system was also developed, together resulting in the world’s fastest convertible upon launch, with a top speed of 320 km/h.
Delivered new to Austria, this Superamerica is offered with its Ferrari manuals and a toolkit. In February 2023 the car benefitted from a Gohm Böblingen Ferrari dealer service, with an invoice on file totalling €6,783. This service included the replacement of the Ferrari’s timing belt. At the time of cataloguing, the odometer read 15,157 kilometres. This remarkably well-presented example of the highly innovative and sought-after Superamerica commands collector attention.
Les Ferrari GT à 12-cylindres avant véhiculent, quel que soit leur âge, l'immortel éclat de l'âge d'or de Maranello, le milieu du XXe siècle. Ce n'est donc pas un hasard que la Superamerica de 2005 ait fait revivre une appellation initiée cinquante ans plus tôt avec la Ferrari 410 Superamerica. Celle-ci était tellement exclusive qu'on dit qu'elle coûtait deux fois le prix d'une Mercedes 300 SL et qu'elle comptait parmi ses propriétaires Gianni Agnelli et même Enzo Ferrari en personne.
La Superamerica dérivée de la 575M Maranello était construite en interne, et sa production limitée à 559 exemplaires seulement en garantissait l'exclusivité. Bien que coûtant 25% de plus que la 575M, les Superamerica furent apparemment toutes pré-vendues dès que la voiture de série fut présentée. Elles furent majoritairement commandées avec la boîte automatisée de type F1, et seuls 43 conducteurs avisés préférèrent la boîte manuelle à six rapports. La Superamerica proposée aujourd'hui est l'un de ces exemplaires qui privilégiaient le pilotage.
Le morceau de bravoure de la Superamerica était sans conteste son toit "Revocromico" pivotant vers l'arrière, conçu et breveté par Leonardo Fioravanti, le styliste en chef de Pininfarina qui était à l'origine de la 288 GTO. Son projet pour la Superamerica, inspiré de ce qu'il avait déjà imaginé pour le concept car Vola d'Alfa Romeo, consistait en un mécanisme de toit qui faisait basculer en moins de 10 secondes le toit de verre de 180 degrés sur le capot arrière. Et comme si cela n'était pas assez innovant, ce toit escamotable se composait d'un cadre confectionné sur mesure en fibre de carbone et garni d'un panneau en verre électrochrome conçu en collaboration avec Saint-Gobain et capable de prendre cinq teintes différentes, au choix du conducteur.
Le moteur Tipo F133G de la Superamerica était une version vitaminée du V12 de 5,75 litres de la 575M Maranello, qui affichait 25 ch de plus grâce à l'optimisation des débits d'air dans les admissions et les culasses et à un nouvel échappement à contrepression réduite. L'ensemble donnait naissance au cabriolet le plus rapide du moment, capable d'atteindre 320 km/h.
Cette Superamerica livrée neuve en Autriche est proposée munie de ses brochures et de sa trousse à outils Ferrari. Elle a bénéficié en février 2023 d'un entretien effectué par Gohm Böblingen, un concessionnaire Ferrari, facturé 6 783 € et incluant un remplacement de la courroie de distribution. Au moment de la mise en catalogue, son compteur affichait 15 157 km. Cet exemplaire remarquablement bien présenté de la Superamerica, une voiture extrêmement innovante et très recherchée, s'impose à l'attention de tout collectionneur.
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