1972 Ferrari Dino 246 GTS by Scaglietti
{{lr.item.text}}
€286,000 EUR | Sold
{{bidding.lot.reserveStatusFormatted}}
- Two registered owners from new
- Formerly owned by racer Jean-François Vaney
- Only 58,000 kilometres from new
- Recent restoration, with Lancia Stratos engine upgrades
- The car that a racing driver drove on the street
- Deux propriétaires depuis l'origine
- Ancienne propriété du pilote Jean-François Vaney
- Seulement 58 000 km d'origine
- Restauration récente avec spécifications moteur Lancia Stratos
- La voiture qu'un pilote automobile a utilisée sur la route
Est. 220 bhp, 2,418 cc DOHC transverse V-6 engine with two Weber 40 IDF 28 and one Weber 40 IDF 29 carburettors, five-speed manual rear transaxle, four-wheel independent suspension with double wishbones, coil springs, and Koni telescopic shock absorbers, and four-wheel ventilated disc brakes. Wheelbase: 2,340 mm.
Moteur V-6 transversal, 2 418 cm3, 220 ch env, deux ACT par banc, deux carburateurs Weber 40 IDF 28 et un Weber 40 IDF 29, boîte manuelle cinq rapports transaxle, quatre roues indépendantes par doubles triangles, ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques Koni, freins à disques ventilés sur les quatre roues. Empattement: 2 340 mm
The Dino 246 GT had all the ingredients to produce a perfect sports car: a high-revving V-6, a five-speed transaxle, disc brakes, and a stiff and responsive chassis, all wrapped in svelte Pininfarina-styled bodywork. It was not technically a Ferrari, and the factory never sold it as such, with the catalogue referring to it as “almost a Ferrari”. Yet, the famous name is now regularly retroactively applied, as its performance has proven to be more than deserving of it. The Dino gained fame as a car for “those in the know”, as it offered a perfect mix of attractive, delicate design and ferocious performance at an appealing price.
Most desirable of the road going Dinos is the 246 GTS, which included a removable targa roof panel. Only 1,274 examples were produced, including the example offered here, which was delivered new by famed Belgian dealer Garage Francorchamps SA to Etablissement Butch, of Brussels. Its original owner was Jean Damman, a gentleman associated with the firm.
In 1979, the car was sold by Mr Damman to Jean-François Vaney, and a copy of the original Bill of Sale is included on file. Mr Vaney was a Swiss gentleman racing driver who resided in Belgium, and he was highly regarded amongst drivers in F1 and other events during this decade. Following his retirement, he ran a workshop, Vaney Cars Sprl., in the famous circuit town of Zolder. The current owner has maintained the Dino for many years, but it has not been registered in his name; as a result, it legally remains a two-owner car, as it is still titled in Mr Vaney’s name.
Between 2000 and 2012, the car underwent a painstaking restoration in classic Rosso Corsa, which is documented by accompanying photographs. The suspension was upgraded for better stability on the road, and the engine was lightly modified with the equipment and tuning of the famous Lancia Stratos rally car, which used a Dino engine. The carburettors and camshaft have been upgraded and new pistons and hardened valves have been installed, resulting in an estimated 220 brake horsepower, which is a gain of 30 horses over the standard Dino 246 GTS. As this Dino has been driven only 250 kilometres since the completion of the work, further break-in mileage is recommended prior to vigorous road use.
This wonderfully tuned car is accompanied by the aforementioned photographs, tools, and original books, as well as its original carburettors and bonnet, and it is exactly the beautiful, drivable Dino one would desire.
La Dino 246 GT comportait tous les ingrédients d'une parfaite voiture de sport, avec notamment un V-6 très vif, une boîte cinq rapports transaxle, des freins à disque et un châssis rigide et réactif, le tout habillé d'une élégante carrosserie Pininfarina. Stricto sensu, il ne s'agissait pas d'une Ferrari et le constructeur ne l'a jamais commercialisée comme telle, le catalogue la présentant comme étant « presque une Ferrari ». Pourtant, la marque fameuse est aujourd'hui souvent utilisée rétrospectivement, les performances de la Dino ayant prouvé qu'elle le méritait très largement. Elle s'est bâtie une réputation de « voiture pour connaisseurs », car elle proposait un ensemble parfait de forme subtile et attractive et de performances brillantes pour un prix raisonnable.
La plus désirable des Dino de route est la 246 GTS, qui comporte un panneau de toit amovible. Elle n'a été produite qu'à 1 274 exemplaires, dont celui que nous proposons ici et qui a été livré neuf par le fameux agent Ferrari Garage Francorchamps SA, aux Établissement Butch, de Bruxelles en juillet 1972. Son premier propriétaire était Jean Damman, collaborateur de cette entreprise.
En 1979, la voiture était vendue par M. Damman à Jean-François Vaney : une copie du certificat de vente fait partie du dossier. M. Vaney était un pilote automobile suisse résidant en Belgique, et il était à l'époque très bien considéré parmi les pilotes de diverses catégories. Parallèlement à la course automobile, il gérait un garage, Vaney Cars Sprl., dans la ville de Zolder, à coté du fameux circuit. L'actuel propriétaire a entretenu la Dino pendant plusieurs années, mais elle n'a jamais été immatriculée à son nom ; par conséquent, cette voiture est officiellement une deuxième main et elle est encore immatriculée au nom de M. Vaney.
Entre 2000 et 2012, la voiture a fait l'objet d'une restauration minutieuse dans la teinte classique Rosso Corsa, des photos témoignant des travaux effectués. La suspension a été améliorée pour une meilleure stabilité et le moteur a été légèrement modifié avec des pièces et des réglages correspondant à ceux de la version Lancia Stratos du moteur Dino. Ainsi, les carburateurs et les arbres à cames ont été modifiés, de nouveaux pistons et soupapes ont été installés, ce qui permet au moteur de développer une puissance estimée à 220 ch, soit 30 ch de plus qu'une 246 GTS standard. Depuis les travaux, cette Dino n'a couvert que 250 km, si bien qu'il est recommandé de respecter une période de rodage complémentaire avant d'exploiter toutes les capacités de cette voiture.
Cette Dino magnifiquement préparée est accompagnée des photos mentionnées plus haut, d'un nécessaire à outils, de manuels d'origine, ainsi que de ses carburateurs et son capot d'origine. Elle correspond exactement à la Dino belle et agile dont peut rêver tout amateur.