2006 Ferrari 575 Superamerica

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€860,000 EUR | Sold

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  • One of just 599 examples built, and one of only 43 manual transmission Superamericas
  • Just two owners from new and less than 10,000 original kilometres
  • Equipped with desirable HGTC package
  • Seulement 599 exemplaires produits, dont 43 Superamerica à transmission manuelle
  • Deux propriétaires et moins de 10 000 km depuis l'origine
  • Équipée du désirable package HGTC
Addendum
Please note that contrary to the printed catalogue, this 575 Superamerica is currently owned by its second owner.

Veuillez noter que, contrairement aux indications portées dans le catalogue papier, cette 575 Superamerica appartient aujourd'hui à son deuxième propriétaire.

After the 550 Maranello was introduced in 1996 as the spiritual successor to the 365 GTB/4 Daytona, Ferrari’s clients insisted on the introduction of an open-top variant of the new car. This would be a limited-production car only available to Ferrari’s best clients. The car that resulted was the 550 Barchetta, and although it was identical in nearly every way to the 550 Maranello, it was indeed to be a pure roadster, harkening back to Ferrari’s earliest models. Offered with only a temporary soft top for emergencies when caught in the rain, many customers felt limited by the car’s lack of a conventional roof and would only use their cars for brief journeys in perfect weather.

Ferrari was aware of this for the introduction of the 575M Maranello, and for its open-top sibling, aimed to produce a more well-rounded convertible. For this, they devised a brand-new convertible-top system, offering their clients all the freedom of a convertible coupled with the security of a coupé.

What made the Superamerica unique and much more usable than its predecessor was a Revochromico rotating hardtop. Constructed using a carbon-fibre frame integrated with electrochromic glass, it was the first roof of its kind to be fitted to a production car. When closed, the opacity of the roof could be adjusted via a dial in the cabin, turning the glass from fully transparent like a conventional sunroof to allowing in just 1% of available light. With the press of a button, the roof easily rotates back to rest flush with the boot lid, leaving the rear window to function as a wind deflector. Another major plus of this design was that as the roof rests on the rear deck it does not obstruct luggage capacity, and the boot is more than spacious enough for a weekend getaway for two.

Ferrari only built 559 Superamericas, and all were spoken for by the time it was announced. As with the 575M Maranello coupé, the majority of 575 Superamericas delivered new were equipped with Ferrari’s popular optional F1-style six-speed transmission. However, Superamericas could also have a gated six-speed manual, and only a handful of owners elected to have their Superamerica equipped as such.

Delivered new to an owner in Germany, this 575 Superamerica is one of just 43 cars equipped with the manual transmission. Better still for both collectors and driving enthusiasts alike, this Superamerica is also fitted with the desirable HGTC pack, boasting carbon-ceramic brakes, titanium exhaust and suspension and steering upgrades. Finished in Grigio Titanio over a Cuoio leather interior, shortly after being purchased new, the car was subsequently sold and purchased by its second and current owner through Ferrari France in virtually as-new condition with only delivery mileage. With that second owner, this Superamerica has travelled less than 10,000 km.

Highly desirable and collectable, the 575 Superamerica represents the modern, open-top V-12 Ferrari at its best. As Montezemolo-era six-speed manual transmission cars grow ever-more desirable, the Superamerica stands out from its siblings as a limited-production convertible and the most desirable iteration of the vaunted 575M Maranello.

Après la présentation en 1996 de la 550 Maranello comme l'héritière spirituelle de la 365 GTB/4 Daytona, les clients Ferrari ont insisté pour que le constructeur propose une version ouverte de son nouveau modèle. Il devait s'agir d'une voiture en série limitée, réservée au meilleurs clients. Il en résultait la 550 Barchetta qui, bien que très semblable à la 550 Maranello, était un pur roadster évoquant les modèles les plus anciens de la marque. Comme elle n'était proposée qu'avec une capote d'urgence fournissant une protection sommaire en cas de pluie, les utilisateurs se sentaient limités par l'absence d'un dispositif conventionnel et n'utilisaient leur voiture que pour de courts déplacements par beau temps.

Ferrari était conscient de cette situation au moment de lancer la 575 Maranello et, pour la version découvrable, essayait de proposer un cabriolet plus utilisable. Le constructeur adoptait dans ce but un système d'ouverture du toit qui permettait aux clients de profiter simultanément de la liberté d'un cabriolet et de la sécurité d'un coupé.

Ce qui rendait la Superamerica unique et beaucoup plus utilisable que sa devancière était un hard-top rotatif "Revochromico". Constitué d'une structure en fibre de carbone portant une vitre électrochrome, ce dispositif de toit était pour la première fois adopté sur une voiture de série. Une fois fermé, l'opacité de la vitre pouvait être réglée grâce à une commande au tableau de bord : ainsi, elle passait de l'état transparent, comme un toit ouvrant conventionnel, à un état ne laissant passer que 1% de la lumière disponible. Un bouton permettait de faire tourner le toit autour de son axe pour qu'il vienne se poser à plat sur le panneau de coffre, laissant la lunette arrière faire office de déflecteur. Autre avantage de ce système, un encombrement faible n'empiétant pas sur l'espace dévolu aux bagages, ce qui explique la présence d'un coffre suffisamment généreux pour emmener le nécessaire pour un week-end à deux.

Ferrari n'a produit que 599 Superamerica, toutes réservées dès la présentation du modèle. Comme le coupé 575 M Maranello, la majorité des 575 Superamerica étaient équipées de la transmission six-rapports style F1, une option très populaire. Cependant, la Superamerica pouvait aussi être dotée d'une boîte manuelle à six rapports et seuls une poignée d'acheteurs ont fait le choix de ce type de transmission pour leur Superamerica.

Livrée neuve en Allemagne à son premier propriétaire, cette 575 Superamerica fait partie des 43 voitures équipées de la transmission manuelle. Mieux encore pour le collectionneur et l'amateur de conduite sportive, elle est dotée du désirable package HGTC comportant des freins en carbone-céramique, un échappement en titane ainsi qu'une suspension et une direction améliorées. De teinte "Grigio Titanio" avec intérieur "Cuoio", elle a été revendue très peu de temps après son achat à son second propriétaire, par l'intermédiaire de Ferrari France. Elle était alors pratiquement neuve et n'affichait qu'un kilométrage de livraison. Entre les mains de ce deuxième propriétaire, cette Superamerica a parcouru moins de 10 000 km.

Extrêmement désirable et collectionnable, cette 575 Superamerica représente ce qui s'est fait de mieux en matière de cabriolet Ferrari V12 moderne. Alors que les voitures à transmission manuelle de l'époque Montezemolo sont de plus en plus recherchées, cette Superamerica se distingue de ses sœurs par son habitacle découvrable, sa production limitée et constitue la version la plus désirable de la 575 M Maranello.