2003 Ferrari Enzo
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€868,000 EUR | Sold
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- Recently serviced and certified by Ferrari Classiche
- Complete with all books, tools, and accessories
- One of only 400 examples of Ferrari’s ground-breaking supercar
- Just over 6,800 kilometres and two owners from new
- Révision récente, voiture certifiée par Ferrari Classiche
- Complète avec ses manuels, outils et accessoires
- Seulement 400 exemplaires de cette supercar Ferrari révolutionnaire
- N'a couvert que 6 800 km depuis l'origine, deux propriétaires seulement
660 bhp, 5,998 cc DOHC 65-degree V-12 engine with Bosch Motronic engine management and electronic fuel injection, six-speed electro-hydraulic computer-controlled sequential F1 gearbox, limited-slip differential and traction control, front and rear pushrod-actuated double wishbones with horizontal external reservoir coil-spring damper units, and four-wheel ventilated carbon-ceramic disc brakes. Wheelbase: 2,649 mm
Moteur V-12 à 65°, 5 998 cm3, 660 ch, deux ACT par banc, gestion du moteur Bosch Mototronic et injection électronique, boîte six rapports électro-hydraulique séquentielle F1 à contrôle électronique, différentiel autobloquant et contrôle de traction, suspension avant et arrière par doubles triangles avec amortisseurs télescopiques horizontaux à réservoir séparé, freins à disques ventilés en carbone-céramique sur les quatre roues. Empattement: 2 649 mm.
“The third millennium has begun with Ferrari enjoying a period of great competitiveness on the world’s racing circuits; so authentic a laboratory for advanced research as it has in recent years. To bring together our racing success and the fundamental role of races, I decided that this car, which represents the best of which our technology is capable, should be dedicated to the founder of the company, who always thought racing should lay the foundations for our road car designs. And so this model, of which we are very proud, will be known as the Enzo Ferrari”. – Luca di Montezemolo
As the chairman of Ferrari uttered those words on the company’s stand at the Paris Auto Show in September 2002, the floor was buzzing with frenzied journalists trying to get the best photograph of the most storied automobile company’s most radical creation to date. To many, nothing else at the show mattered, because Ferrari had just introduced its newest supercar. The bar had officially been set. All rivals were officially put on notice.
The Enzo was a dramatic visual departure from the F50, and it showed that Ferrari was heading in a new direction. Inspiration for the Enzo came directly from Formula One, and engineers had spent hours crafting the car’s shape in a wind tunnel to ensure that form followed function. Nothing within the confines of the Enzo’s cabin distracts the driver from the task at hand. The cabin is awash in carbon fibre and its only creature comfort, aside from the leather bucket seats, is a climate-control system; not even a radio is present, with nothing to hide the glorious sound of the V-12 engine.
This focus on Formula One was again echoed by the car’s sole transmission, a six-speed sequential F1-style gearbox that is capable of shifting gears in 150 milliseconds, providing seemingly uninterrupted acceleration all the way to a top speed of over 350 km/h. Mated to that transmission was an absolute behemoth of an engine, a 6.0-litre V-12 that was capable of producing 660 purebred Italian horsepower. That was enough to rocket the Enzo to 100 km/h in just 3.6 seconds.
Enzo himself believed that Ferrari should always produce just one less car than what the market demanded, and the Enzo was no exception to this rule. Just 399 were initially produced, with a 400th produced and presented to Pope John Paul II, who instructed the car to be auctioned, with its proceeds benefitting charity. When new, the Enzo resided in the garages of Ferrari’s best customers, and that was not just by coincidence. Each owner had to be chosen and presented with the opportunity to purchase an Enzo from Ferrari itself, making ownership of one more of an honour than a privilege.
This 2003 Enzo, bearing chassis number 133512, was finished in Giallo Modena with a Nero leather interior that had yellow stitching to match its exterior. The Enzo was delivered new to Monte Carlo, where it surely felt right at home stretching its legs on the Formula One circuit whilst attracting awestruck gazes from those lucky enough to see it in motion.
In 2011, the second and current owner had his Enzo shipped back to Maranello, where it underwent Ferrari Classiche certification and a full service to ensure that it was in as-new condition. All manuals and accessories offered with the car when new, including the original car cover, tyre inflator, and trickle charger for the battery, are offered with the car today, along with service records from Ferrari Classiche. Additionally, a set of four new Bridgestone Potenza Scuderia tyres, which were specially designed for the Enzo, along with an additional set of four-point harnesses, accompany this incredible supercar.
Although more than 10 years have passed since the Enzo’s introduction and a new “super-Ferrari” has been introduced, the Enzo still has a special aura about it. An Enzo is a rare sight, and one finished in Giallo Modena is rarer still, but an example that has all of that plus a service and certification from the factory and just 6,800 kilometres on its odometer is simply an opportunity not to be missed.
As aptly stated by Montezemolo himself, the Enzo represented the cutting edge of road-car technology when it was new, and it will continue to be treasured by future generations of tifosi for years to come.
« Le troisième millénaire a commencé avec pour Ferrari une période de grande compétitivité sur les circuits de course du monde entier ; un véritable laboratoire pour des recherches avancés, comme toutes ces dernières années. Pour rassembler nos succès en course et le rôle fondamental de la compétition, j'ai décidé que cette voiture, qui représente le meilleur de ce dont notre technologie est capable, soit dédiée au fondateur de l'entreprise, qui a toujours pensé que la course devait constituer la base de nos voitures de route. Par conséquent ce modèle, dont nous sommes très fiers, aura pour nom Enzo Ferrari ». – Luca di Montezemolo
Pendant que le président de Ferrari prononçait ces mots sur le stand Ferrari du Salon de Paris, en septembre 2002, le lieu était envahit de journalistes déchaînés cherchant à prendre la meilleure photo de la création la plus radicale jusque-là de la plus célèbre marque automobile. Pour beaucoup, plus rien dans le Salon n'avait d'importance, car Ferrari avait présenté sa nouvelle supercar. La barre était haut placé. Les concurrents n'avaient plus qu'à essayer de s'aligner.
L'Enzo présentait une forme radicalement différente de celle de la F50, montrant que Ferrari prenait une nouvelle orientation. Pour l'Enzo, l'inspiration venait directement de la Formule 1, et les ingénieurs avaient passé des heures à peaufiner en soufflerie les lignes de la voiture, pour s'assurer que la forme répondait à la fonction. Dans l'habitacle de l'Enzo, rien ne vient distraire le pilote de sa tâche. Le carbone y est omniprésent et le seul équipement de confort, à part les sièges baquets en cuir, est le système d'air conditionné ; on ne trouve même pas de radio, et rien ne vient troubler le chant glorieux du moteur V-12.
Cette orientation vers la Formule 1 étaient caractérisée par la transmission de la voiture, une boîte séquentielle six rapports style F1, capable de passer les vitesses en 150 millisecondes, ce qui permettait de fournir une accélération quasiment ininterrompue jusqu'à la vitesse maximum de 350 km/h. Reliée à cette transmission, on trouvait un moteur absolument fantastique, un V-12 de 6 litres capable de délivrer 660 ch, un pur-sang italien. C'était suffisant pour faire passer l'Enzo de 0 à 100 km/h en 3,6 secondes.
Enzo lui-même pensait que Ferrari devait toujours produire une voiture de moins que ce que réclamait le marché, et l'Enzo ne fait pas exception à cette règle. Seulement 399 exemplaires ont été initialement produits, une 400e étant fabriquée et offerte au pape Jean-Paul II. Celui-ci demandait que la voiture soit présentée aux enchères, au bénéfice d'œuvres de charité. Après sa sortie d'usine, l'Enzo a pris la direction des garages des meilleurs clients Ferrari, ce qui n'était pas qu'une simple coïncidence. Chaque acheteur devait être choisi pour que lui soit proposée la possibilité d'acheter une Enzo directement chez Ferrari, ce qui faisait de la possession de cette machine un honneur et un privilège.
Cette Enzo 2003, portant le numéro de châssis 133512, était peinte de couleur Giallo Modena avec une sellerie en cuir Nero comportant des coutures jaunes, pour s'accorder à l'extérieur. Cette Enzo a été livrée neuve à Monte Carlo, où elle s'est certainement sentie parfaitement à l'aise sur le fameux circuit de Formule 1, tout en attirant les regards des passants qui avaient la chance de la voir passer.
En 2011, le deuxième et actuel propriétaire a fait rapatrier cette Enzo à Maranello, où elle a reçu la certification de Ferrari Classiche tout en bénéficiant d'une révision complète, pour s'assurer qu'elle soit dans un état proche du neuf. Tous les manuels et les accessoires qui étaient les siens quand elle était neuve, y compris la housse d'origine, le gonfleur de pneus et le chargeur lent de batterie, accompagnent la voiture, ainsi que l'historique d'entretien de Ferrari Classiche. De plus, un jeu de quatre pneus Bridgestone Potenza Scuderia neufs, conçus spécialement pour l'Enzo, ainsi qu'un jeu supplémentaire de harnais quatre points, sont livrés avec cette incroyable automobile.
Plus de 10 ans se sont écoulés depuis la présentation de l'Enzo et le lancement de cette nouvelle « super-Ferrari », et pourtant l'Enzo bénéficie toujours d'une aura spécifique. Il est rare d'en croiser une, et encore plus rare dans cette teinte Giallo Modena, mais un exemplaire qui a tout cela, plus une révision et une certification de l'usine, et dont le compteur n'affiche que 6 800 km, représente une opportunité qu'il ne faut tout simplement pas manquer.
Comme l'a indiqué très justement Montezemolo lui-même, l'Enzo représentait quand elle était neuve l'avant-garde de la technologie, pour une voiture de route. Elle va continuer à faire l'admiration des futures générations des tifosi pendant encore longtemps.