1959 Jaguar XK150 3.8 Fixed Head Coupé

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€72,800 EUR | Sold

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  • Cosmetically restored to original specifications
  • Equipped with the desirable 3.8-litre engine
  • Accompanied by a JDHT Certificate
  • Restauration cosmétique à ses spécifications d'origine
  • Équipée du désirable moteur 3,8 litres
  • Accompagnée d'un certificat du JDHT

220 bhp, 3,781 cc inline six-cylinder engine, four-speed automatic transmission, independent front suspension with wishbones, coil springs, torsion bars, and anti-roll bar, rigid rear axle with semi-elliptic leaf springs, and four-wheel hydraulic disc brakes. Wheelbase: 2,591 mm

Moteur six-cylindres en ligne, 3 781 cm3, 220 ch, deux ACT, transmission automatique quatre rapports, suspension avant indépendante avec triangles, ressorts hélicoïdaux, barres de torsion et barre antiroulis, essieu arrière rigide avec ressorts semi-elliptiques, freins hydrauliques à disques sur les quatre roues. Empattement: 2 591 mm.

Jaguar’s new XK150 fixed head coupé premiered alongside the drophead variant in 1957 as the last of Jaguar’s XK-series cars. As the swansong of the series, the XK150 featured upgrades and changes that engineers had adapted from both the XK120 and XK140. Many believe that the XK150, especially the FHC, was the most liveable of the three models.

Distinguishing an XK150 from its predecessors is simple, as the designers worked to mould the XK150’s body into a more conservative and subtle shape. The XK140’s sensual lines were smoothed out and Jaguar widened the car’s bonnet, enlarged the front grille, and fitted a single-piece curved windshield, which all added to its elegant appearance. On the inside, the door panels were made slightly thinner, which helped to increase the interior shape, and a leather dashboard replaced the walnut unit that was found in the XK120 and XK140.

Mechanically, the XK150 benefitted from the addition of four-wheel disc brakes; this was the first time such a feature was ever fitted to a production car. In the case of the fixed head coupé, these changes certainly made for a wonderful grand touring car, as they created something that was just as exciting to look at as it was to drive for extended periods of time. In 1959, Jaguar further enhanced the XK150 by introducing the 3.8-litre engine to replace the existing 3.4-litre one, bringing total output to 220 horsepower.

According to its JDHT Certificate, this 1959 XK150 was built on 1 October 1959, finished in Cream with a Tan interior, and was outfitted with an automatic transmission. It was then shipped to Jaguar Cars New York, where it was delivered new to a Peggy Paige Walton. Today, the car is believed to have had just four owners since new, and it is in splendid mechanical and cosmetic condition. The car was the subject of a full, comprehensive, and photographically documented restoration, in which the paint and interior were restored to their original specification. It has accumulated just 325 miles since the restoration was completed in 2007 and has been very well maintained by its current owner since.

As the last of Jaguar’s fabled XK series of cars, every Jaguar enthusiast should strive to have one in their garage, as it represents a fine luxury sports car with lots of uniquely British character. This XK150 has been well maintained and preserved following its cosmetic restoration, and it would be a wonderful example for the enthusiast looking to enjoy classic British motoring at its best.

Titled as 1960.

Dernière évolution de la série des XK, le nouveau coupé Jaguar XK 150 a été dévoilé en 1957 en même temps que le cabriolet. Chant du cygne de cette famille, l'XK 150 présentait des améliorations et des modifications que les ingénieurs avaient apportées par rapport aux XK 120 et 140. De nombreux amateurs considèrent que l'XK 150, et plus particulièrement le coupé, est le plus facile à utiliser des trois modèles.

Il est facile d'identifier une XK 150 par rapport à ses devancières, car les dessinateurs lui ont donné une forme plus sobre et plus subtile. Les lignes sensuelles de l'XK 140 ont été adoucies et Jaguar a élargi le capot et la calandre tout en posant un pare-brise galbé en une partie, ce qui participait à lui donner une ligne élégante. Dans l'habitacle, les panneaux de portes étaient un peu plus fins, permettant ainsi d'améliorer l'utilisation de l'espace intérieur, alors qu'un tableau de bord habillé de cuir remplaçait le bois qui caractérisait les XK 120 et 140.

Mécaniquement, l'XK 150 bénéficiait de la présence de quatre freins à disque ; c'était la première fois qu'un tel équipement était monté sur une voiture de série. Dans le cas du coupé, ces changements faisaient de la voiture une merveilleuse grande routière, car ils donnaient naissance à quelque chose qui était aussi excitant à regarder qu'agréable à conduire sur de longues distances. En 1959, Jaguar améliorait encore l'XK 150 en introduisant le moteur 3,8 litres pour remplacer le 3,4 litres, ce qui permettait à la puissance de faire un bond à 220 ch.

D'après son certificat du Jaguar Daimler Heritage Trust (JDHT), cette XK 150 de 1959 est sortie d'usine le 1er octobre 1959, de couleur crème avec intérieur brun clair, et elle était équipée d'une transmission automatique. Elle fut ensuite acheminée chez Jaguar Cars New York, avant d'être livrée à Peggy Paige Walton. Il est probable que cette voiture n'a connu que quatre propriétaires depuis l'origine, et elle se présente aujourd’hui en superbe état, tant mécanique que carrosserie et habitacle. Elle a été soumise à une restauration cosmétique, au cours de laquelle la peinture et l'intérieur ont retrouvé leurs spécifications d'origine. Depuis que cette restauration a été achevée, en 2007, la voiture n'a couvert que 530 km et a été particulièrement bien entretenue par son propriétaire actuel.

Dernière Jaguar de la fantastique série des XK, tout amateur de la marque rêverait d'en avoir une dans son garage, car elle représente une voiture de sport luxueuse et raffinée, avec un caractère britannique spécifique et affirmé. Cette XK 150 a été bien préservée à la suite de sa restauration cosmétique et constitue donc un exemplaire de choix pour un passionné souhaitant profiter d'une voiture de sport classique typiquement britannique