1967 Ferrari 330 GTS by Pininfarina
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€2,128,000 EUR | Sold
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- One of 99 built; a matching-numbers example
- Best of Show at the 2011 Concorso Italiano
- The subject of a comprehensive mechanical and cosmetic restoration
- Un des 99 produites ; numéros concordants
- Best of Show au Concorso Italiano 2011
- A bénéficié d'une restauration complète, mécanique et cosmétique
300 bhp, 3,967 cc single overhead-camshaft V-12 engine with triple Weber carburettors, five-speed manual transaxle, four-wheel independent suspension, and four-wheel disc brakes. Wheelbase: 2,400 mm
Moteur V-12, 3 967 cm3, 300 ch DIN, 1 ACT par banc, trois carburateurs Weber, boîte manuelle cinq rapports transaxle, suspension à quatre roues indépendantes, freins à disques sur les quatre roues. Empattement: 2 400 mm.
In its July 1967 issue, Car and Driver magazine described the driving experience of Ferrari’s new convertible as such: “Depress clutch. Find neutral. Turn ignition key. Give the gas a tiny, nervous touch. Oh my God!”
The 330 GTS’s performance, which included a top speed of 150 mph and a quarter-mile dash time of 15 seconds at just under 100 mph, was otherworldly. Yet, it was only part of the story. From its classic Ferrari nose treatment, fitted with a characteristic shallow egg-crate oval grille, to the triple louvered vents on the rear flanks of the front wings, and on to the seductive tapered tail, its design epitomised mid-1960s Italian GT styling. Inside the luxuriously appointed interior were twin leather bucket seats, a wood-rimmed aluminium steering wheel, and full instrumentation, and the interior accommodations were remarkably spacious.
Chassis number 17019, one of only ninety-nine 330 GTSs produced, was shipped to Luigi Chinetti Motors in Greenwich, Connecticut, in early 1968. After immediately being sold to Loeber Motors Inc. in Chicago, Illinois, it passed through a succession of owners, including Dr Stuart L. Resch, of New York, in 1970. In 1974, Steve Gross, of Westport, Connecticut, acquired the 330 GTS via Chinetti Motors. Save for a repaint performed in the early 1970s, it reportedly remained a largely original car until 2006.
That year, the car was acquired by an astute collector from California, who had Patrick Ottis Company, of Berkeley, California, sort the suspension and perform some general maintenance. Afterwards, it went on to add some 7,000 miles to the odometer in joyful touring. When it came time for the engine to be rebuilt, Ottis’s team was entrusted with the mechanical work, whilst the coachwork and cosmetics were entrusted to the renowned firm of Rudi & Company, of Victoria, British Columbia.
Under the care of Koniczek and his team, the car was completely taken down to bare metal. Old front-end damage was properly repaired, and any oxidation issues were addressed, which was a significant investment that has ensured the integrity of the car for years to come. In addition to the outstanding body and paint work, every piece of chrome was re-plated, the interior was reupholstered, and the gaskets and glass were replaced.
Ottis’s shop was directed to perform the engine rebuild as thoroughly and correctly as possible. The meticulous machine work was complemented by the installation of new valves and pistons, resulting in outstanding appearance and performance. When the work had been completed, the car was returned to Ottis’s Berkeley facility, where the engine was installed and properly worn-in. The 330 GTS was subsequently brought to Brian Hoyt’s Perfect Reflections, to ensure that it was dialled-in for correctness of presentation, down to the rubber seals and the smallest pieces of hardware.
Chassis 10719 is presented in Blu Scuro, with a Claret and black leather interior and black cloth top, and it is absolutely stunning. The fit and finish of its panels is excellent, with even gaps, and the quality of the engine bay remains at a concours level, as does that of the underside. The interior boasts the standard leather seats and power windows, as well as optional air conditioning and a Becker AM/FM radio, and the car rides on sparkling Borrani wire wheels shod in Michelin XWX tyres.
It is no surprise that when shown in 2011 at the Concorso Italiano in Monterey, California, this car was awarded the Ferrari Club of America Pacific Region Vintage Concours Award and received Best of Show honours. In its present ownership, the 330 GTS has continued to be well maintained by a professional staff. Accompanying the car is a correct jack bag and a nicely appointed tool roll.
This award-winning automobile is a Ferrari that speaks for itself.
Dans son numéro de juillet 1967, le magazine Car and Driver décrit ainsi la mise en route du nouveau cabriolet Ferrari : « Appuyez sur la pédale d'embrayage. Vérifiez que le levier de vitesse soit au point mort. Tournez la clé de contact. Donnez un petit coup d'accélérateur rapide. Oh mon Dieu ! »
Les performances de la 330 GTS, dont la vitesse de pointe atteignait 240 km/h et qui couvrait le 400 mètres départ arrêté en 15 secondes, étaient véritablement hors du commun. Et encore, ce n'était qu'un aspect des choses. Depuis le dessin classique de l'avant, doté de la classique grille « coupe-frites » dans une calandre ovale, jusqu'aux triples louvres placées sur les ailes avant, en passant par le séduisant coffre arrière effilé se terminant en léger pan coupé, les lignes de cette voiture symbolisaient à elles seules le style des GT italiennes de la moitié des années 1960. Remarquablement spacieux et richement équipé, l'habitacle comportait deux sièges baquets en cuir, un volant à jante bois et branches en aluminium et une instrumentation complète.
Cette voiture (numéro de châssis 17019), qui fait partie des 99 exemplaires de 330 GTS produits, a été expédiée au début de l'année 1968 à Luigi Chinetti Motors, à Greenwich (Connecticut). Après avoir été immédiatement vendue à Loeber Motors Inc. à Chicago (Illinois), elle est passée entre les mains de plusieurs propriétaires dont le Dr Stuart L. Resch, de New York, en 1970. En 1974 Steve Gross, de Westport (Connecticut), faisait l'acquisition de cette 330 GTS via Chinetti Motors. A part une peinture réalisée au début des années 1970, cette voiture serait restée largement d'origine jusqu'à 2006.
Cette année-là, la voiture était achetée par un collectionneur avisé de Californie, qui la confiait à Patrick Ottis Company, de Berkeley (Californie), pour réviser la suspension et réaliser certains travaux d'entretien. Ensuite, il profitait du plaisir de la voiture et couvrait quelque 11 000 km. Quand est venu le moment de refaire le moteur, c'est l'équipe d'Ottis qui fut chargé de ces travaux mécaniques, alors que la carrosserie et les travaux cosmétiques étaient confiés à l'entreprise réputée Rudi & Company, de Victoria (British Columbia).
Entre les mains de Koniczek et son équipe, la voiture était complètement démontée et le métal était mis à nu. Un ancien dommage à l'avant était convenablement réparé et toutes les parties rouillées étaient prises en charge et traitées, ce qui représentait un investissement significatif qui a permis d'assurer l'intégrité de la voiture pour encore des années. En plus de l'excellent travail sur la carrosserie et la peinture, chaque pièce de chrome était refaite, la sellerie était rénovée et les joints et vitrages étaient remplacés.
L'atelier d'Ottis s'occupait de son côté de la reconstruction du moteur, aussi complètement et aussi correctement que possible. Le travail méticuleux sur le bloc était complété par l'installation de pistons et de soupapes neufs, ce qui permettait d'obtenir une présentation et des performances remarquables. Une fois les travaux terminés, la voiture revenait dans les locaux Ottis de Berkeley, où le moteur était remis en place et correctement rodé. La 330 GTS était ensuite amenée chez Brian Hoyt, de Perfect Reflections, pour vérifier que tous les détails de présentation soient corrects, jusqu'aux joints de caoutchouc et aux plus petites pièces mécaniques.
De couleur Blu Scuro, avec un intérieur en cuir Claret et noir et une capote en toile noire, cette voiture est absolument splendide. L'ajustement et la finition des panneaux sont excellents, avec des espaces égaux, et la qualité de présentation du compartiment moteur est du niveau concours, de même que les soubassements. L'intérieur dispose de sièges standard en cuir et de vitres électriques, ainsi que d'un système optionnel d'air conditionné et d'un autoradio Becker AM/FM. Elle est équipée de splendides jantes Borrani à rayons chaussées de pneus Michelin XWX.
Il n'est pas surprenant que, lorsqu'elle a été présentée en 2011 au Concorso Italiano de Monterey (Californie), cette voiture ait reçu la Ferrari Club of America Pacific Region Vintage Concours Award, ainsi que le très envié Best of Show. Entre les mains de son propriétaire actuel, cette 330 GTS a continué à bénéficier d'un entretien rigoureux par une équipe professionnelle. La voiture est accompagnée d'un sac de cric correct et d'une trousse à outils joliment présentée.
Cette Ferrari 330 GTS, gagnante de concours, parle pour elle-même.