1968 Ferrari 330 GTC by Pininfarina
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€476,000 EUR | Sold
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- Matching-numbers engine
- Recent thorough engine rebuild, with approximately 3,000 kilometres
- Legendary driving dynamics; amongst the greatest grand touring Ferraris
- Documented history by Ferrari historian Marcel Massini
- Ferrari Classiche certification ongoing
- Numéros concordants
- Reconstruction moteur complète et récente, avec environ 3 000 km
- Comportement légendaire ; parmi les meilleures Ferrari de Grand Tourisme
- Histoire documentée par l'historien Ferrari Marcel Massini
- Certification Ferrari Classiche en cours
300 bhp, 3,967 cc SOHC V-12 engine with three Weber 40DCZ6 carburettors, five-speed rear-mounted manual transmission, four-wheel independent suspension via wishbones, coil springs, and telescopic shock absorbers, and four-wheel hydraulic disc brakes. Wheelbase: 2,400 mm
Moteur V-12, 3 967 cm3, 300 ch, 1 ACT par banc, trois carburateurs Weber 40 DCZ6, boîte manuelle cinq rapports montée à l'arrière, suspension avant et arrière indépendante par triangles, ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques, freins hydraulique à disques sur les quatre roues. Empattement: 2 400 mm.
The 330 GTC debuted to a glowing public at the 1966 Geneva Motor Show, as it provided a grand touring complement to the revolutionary 275 GTB, and it would soon be described by contemporary press as “the best all-round V-12 Ferrari”. With its replacement of the 330 GT 2+2, unveiled only a couple of years prior, it brought with it a more focused and honed chassis, which nearly mirrored that of the 275 GTB, and a rear-mounted transaxle, which provided impressive balance. It was more sporting than its predecessor, as it utilised Ferrari’s Colombo 300-horsepower V-12, which was capable of firing off a 0–60 mph sprint in under 7 seconds.
With a redesigned block, the V-12 was fixed to the chassis at four points, which reduced noise and vibration in order to make the 330 GTC a truly refined grand tourer. As its handsome shape was penned by Pininfarina, the 330 GTC drew elements from the 400 Superamerica and the 275 GTS, but its delicate pillars and open greenhouse were pure Pininfarina. Inside, the 330 GTC boasted an especially luxurious interior with ample space for both luggage and passengers, which made it a highly drivable grand touring machine. Without a doubt, the 330 GTC is one of the firm’s most cohesive and elegant designs, which is a compliment of the highest order.
The 330 GTC Coupé offered here, originally finished in Argento, was completed in April 1968 and is amongst the last produced before the 365 GTC was introduced with minor styling updates. It was delivered new through Jacques Swaters’ Garage Francorchamps SOA in Belgium to an American buyer. After passing through owners on the East Coast and Mountain West of the United States, it was eventually re-expatriated over the Atlantic in 1990. It is presented today in a classic Ferrari red over fresh black (Nero) leather and black carpeting, as original, and it displays a hair over 90,000 miles. Setting off its handsome appearance are Borrani wire wheels with period-style Michelin XWX tyres and an Ansa exhaust system. A proper Becker Mexico radio with an electric antenna also adds to its appeal.
Inside and out, the 330 GTC displays only hints of regular use. Notably, its chrome trim is excellent, and the wood veneer on its dashboard displays only light patina. In 2010, it was subjected to a rebuild of its matching-numbers engine by Firma Braun, a Germany-based company in Benningen, at a cost of more than €44,000. More than €8,000 worth of other maintenance work has subsequently been applied. Today, there are approximately 3,000 kilometres on the fresh engine, and it is reported to run strong and true, with a superb exhaust note. This 330 GTC is ready to be enjoyed on the open road, as Enzo Ferrari intended.
Présentée au public au Salon de Genève 1966, la 330 GTC apportait le complément Grand Tourisme à la révolutionnaire 275 GTB, et n'allait pas tarder à être décrite par la presse contemporaine comme la « meilleure Ferrari V-12 pour toutes utilisations ». Remplaçant la 330 GT 2+2, dévoilée seulement deux ans plus tôt, elle apportait un châssis plus affûté, presque identique à celui de la 275 GTB, et une boîte accolée au pont arrière, ce qui permettait un excellent équilibre. Elle était plus sportive que sa devancière et recevait le V-12 Colombo 4 litres de 300 ch, ce qui lui permettait de passer de 0 à 100 km/h en moins de 7 secondes.
Avec un bloc redessiné, le V-12 était fixé au châssis en quatre points, ce qui permettait de réduire le bruit et les vibrations, de façon à faire de la 330 GTC une grande routière parfaitement raffinée. Due à Pininfarina, la ligne superbe de la 330 GTC reprenait certains élément de la 400 Superamerica et de la 275 GTS, tout en bénéficiant d'un pavillon lumineux doté de montants fins et élégants. A l'intérieur, la 330 GTC présentait un aménagement luxueux, avec un espace généreux pour les passagers et les bagages, ce qui en faisait une voiture capable de parcourir de longues distances sans problème. Sans aucun doute, la 330 GTC correspond à l'un des modèles les plus homogènes et les plus élégants de la marque, ce qui n'est pas un mince compliment.
Le coupé 330 GTC proposé ici, de teinte d'origine Argento, est sorti d'usine en avril 1968 et fait partie des derniers exemplaires produits avant l'introduction de la 365 GTC qui comportait quelques modifications esthétiques mineures. Elle a été livrée neuve à un acheteur américain, par l'intermédiaire du Garage Francorchamps de Jacques Swaters, en Belgique. Après être passée entre les mains de propriétaires basés sur la Côte Est et les régions montagneuses de l'Ouest des États-Unis, elle était finalement rapatriée vers l'Europe en 1990. Elle se présente aujourd'hui dans une combinaison classique de rouge Ferrari avec intérieur en cuir noir (Nero) et moquette noire, comme à l'origine, et son compteur affiche à peine plus de 90 000 miles (145 000 km). Des jantes Borrani à rayons chaussées de pneus Michelin XWX dans le style de l'époque rehaussent l'allure de la voiture, qui est équipée d'un échappement Ansa et d'un autoradio Becker Mexico avec antenne électrique, ce qui ajoute à son charme.
Extérieurement comme intérieurement, cette 330 GTC n'affiche que des signes discrets d'une utilisation régulière. Ainsi, ses garnitures en chromes sont superbes et le bois du tableau de bord ne montre qu'une légère patine. En 2010, son moteur d'origine a bénéficié d'une reconstruction par une Firma Braun basée à Benningen, en Allemagne, pour un montant supérieur à 44 000 €. Par la suite, plus de 8 000 € ont été dépensés en travaux d'entretien divers. Aujourd'hui, la voiture a parcouru environ 3 000 km depuis cette restauration et l'on nous a indiqué qu'elle fonctionnait très bien, avec une superbe sonorité à l'échappement. Cette Ferrari est prête à apporter à son nouvel acquéreur le plaisir de conduite pour lequel Enzo Ferrari l'avait conçue.