1949 Jaguar XK120 Alloy Roadster

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€280,000 - €320,000 EUR | Not Sold

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  • The 15th LHD XK120 built; one of 240 alloy-bodied examples
  • Recently restored to original specifications
  • An excellent vehicle for vintage tours or rallies
  • La 15e XK 120 conduite à gauche produite ; un des 240 exemplaires à carrosserie aluminium
  • Restaurée récemment aux spécifications d'origine
  • Excellente voiture pour les randonnées et rallyes historiques
Addendum
Please note the UK number plate and registration for JRW II7 is not included with the car.

160 bhp, 3,442 cc DOHC inline six-cylinder engine with twin SU H6 carburettors, four-speed manual transmission, independent front and live rear axles with semi-elliptic spring rear suspension, and four-wheel drum brakes. Wheelbase: 2,591 mm

Moteur six-cylindres en ligne, 3 442 cm3, 160 ch, deux ACT, deux carburateurs SU H6, boîte manuelle quatre rapports, suspension avant indépendante, essieu arrière rigide avec ressorts semi-elliptiques, freins à tambours sur les quatre roues. Empattement: 2 591 mm.

The 1948 Earl’s Court Motor Show was a defining moment for Jaguar. The show saw witness to its first sports car since World War II, and it was instantly clear to anyone that saw the new XK120 that Jaguar had a hit on their hands. Jaguar stirred up even more interest in the car when an XK120 hit a speed of 126 mph in a speed run on a Belgian highway. That same top-speed run was performed once more after removing the car’s windshield and it reached an even more astonishing top speed of 132 mph, making it the fastest sports car the world had ever seen.

Jaguar had originally intended for the XK120 to be a limited-production automobile and planned to body the cars in aluminium. However, as consumer interest exploded after it premiered at Earl’s Court, Jaguar only bodied the first 240 cars in alloy and then shifted production to steel, which was more readily available in post-war Europe. These alloy examples have proven to be highly prized by collectors, as they represent the earliest and purest form of William Lyon’s brilliant creation.

The car presented today, bearing chassis number 670015, is a very early XK120, and it is just the 15th example built in left-hand drive. It was manufactured on 18 October 1949 and left the factory on 11 November, bound for Max Hoffman’s legendary dealership in New York City. It was finished in Pastel Blue and registered in the UK to a Lt. Commander W.H. Willson, of Kent, before it was sent to Max Hoffman’s dealership in New York City, according to its Jaguar Daimler Heritage Trust Certificate. Allegedly, the XK120 then travelled with Willson to his next post in Canada, before passing through owners in New York and a collector of XK-series Jaguars living in California, who maintained the car in largely original condition for over 40 years.

It was then exported to France in 2008, where it was fully restored and refinished in Old English White over a burgundy leather interior. It is currently with its second European owner and has recently been refreshed, with the intention of bringing it back to its correct factory specification whilst still keeping the identical colour combination. It received a fresh repaint in Old English White and was refitted with its proper tall-neck twin SU carburettors, drum brakes, wheel spats, bucket seats, and a black soft-top, making all its mechanical components factory correct in every regard.

The early alloy-bodied cars are undoubtedly the most desirable XK120 models, and they have been very well respected by motoring enthusiasts from the instant they left the factory. The XK120 spawned a lovely series of sports cars, and to own one of the earliest examples of the fabled XK line is to experience the platform in its purest iteration. To this day, XK120s are still well regarded as touring cars, and they are frequent sights in events like the Mille Miglia and Colorado 1000. With a recent full restoration and known history from new, this example is surely one of the best.

Le Salon de Londres 1948 a été pour Jaguar un moment crucial. Il était en effet le témoin de la présentation de son premier nouveau modèle depuis la seconde Guerre Mondiale, et tout ceux qui ont pu voir à cette occasion l'XK 120 sur le stand Jaguar ont immédiatement compris que la marque avait entre les mains une gagnante. Jaguar attirait encore plus d'intérêt quand une XK 120 atteignait la vitesse de 202 km/h sur une autoroute belge, performance renouvelée après avoir déposé le pare-brise, avec cette fois la vitesse encore plus étonnante de 212 km/h, ce qui en faisait la voiture de sport la plus rapide du monde.

Jaguar avait initialement l'intention que l'XK 120 soit une voiture de production limitée et avait prévu une carrosserie en aluminium. Mais les commandes des clients explosaient après la présentation de la voiture à Londres, si bien que, après avoir produit 240 exemplaires en aluminium, Jaguar passait à l'acier dont l'approvisionnement, dans l'Europe d'après-guerre, était beaucoup plus facile. Ces exemplaires en aluminium sont aujourd'hui particulièrement appréciés des collectionneurs, car ils représentent la forme la plus ancienne et la plus pure de la brillante création de William Lyon.

La voiture proposée aujourd'hui, portant le numéro de châssis 670015, est une des premières XK 120 ; en fait, le quinzième exemplaire à conduite à gauche. Sortie des ateliers le 18 octobre 1949, elle a quitté l'usine le 11 novembre, expédiée chez le légendaire importateur Max Hoffman, à New York. De teinte bleu pastel, elle était immatriculée en Grande-Bretagne avant de prendre la direction des États-Unis, au nom d'un Lt. Commander W.H. Willson, habitant dans le Kent, d'après les informations du certificat du Jaguar Daimler Heritage Trust. Il semblerait qu'elle ait ensuite voyagé avec Willson jusqu'à son poste suivant au Canada, avant de passer entre les mains de propriétaires basés à New York et d'un collectionneur de Jaguar XK vivant au Canada, qui préservait cette voiture pendant plus de 40 ans dans sont état d'origine.

Elle était ensuite exportée en France en 2008, où elle bénéficiait d'une restauration complète avec une peinture extérieure Old English White et une sellerie en cuir bordeaux. Elle appartient aujourd'hui à son deuxième propriétaire européen et a récemment été remise à niveau, dans le but de lui rendre ses spécifications d'usine correctes, tout en gardant la même combinaison de teintes. Dotée d'une nouvelle peinture Old English White, elle recevait les deux carburateurs SU corrects à embase longue, des freins à tambours, des jupes d'ailes arrière, des sièges baquets et une capote noire, ce qui lui permettait de présenter des éléments mécaniques tout à fait conformes à l'équipement d'origine de la voiture.

Les premières versions en aluminium sont sans aucun doute les plus désirables des XK 120, et elles ont été très bien traitées par les amateurs d'automobile dès l'instant où elles ont quitté l'usine. La Jaguar XK 120 a donné naissance à toute une génération de voitures de sport, et posséder un des premiers exemplaires de la fameuse lignée des XK permet de profiter de cette voiture dans sa forme la plus pure. Jusqu'à présent, les XK 120 ont toujours été considérées comme d'excellentes routières, et elles apparaissent fréquemment à l'occasion d'événements comme les Mille Miglia ou Colorado 1000. Avec sa restauration récente et son histoire connue depuis l'origine, cet exemplaire est certainement l'un des meilleurs.