When the Lamborghini Miura burst onto the scene in 1966, it changed the face of high-performance motoring forever. While that model gradually evolved through ever more powerful iterations, it was only fitting that its replacement, the Countach, would fully embrace its predecessor’s spirit of revolution. Clean, crisp and angular, the Marcello Gandini-penned wedge caused a comparable commotion when the curtain first fell at the 1971 Geneva International Motor Show. By the time drivers and journalists had experienced the Countach’s raw 375-horsepower performance, the torch had truly been passed.

Just like the Miura, the Countach was improved over time, and while the clean lines and purity of design of the ‘Periscopio’ will always hold great appeal to collectors, the LP400 S added a welcome injection of aggression on its debut in 1978. Hitting the road four years after the LP400, the revised model featured even wider Pirelli rubber housed behind blistered wheel arches, with new suspension geometry to complement the more aggressive stance.

Of the 237 LP400 S built, the earliest Series I variants with Campagnolo Bravo "teledial" wheels are the most collectable. Chassis 1121028 is the 14th of this sequence to be built, and was completed on 26 October 1978 in the striking colour combination of Blu Notte Metallizzato over a Bianco interior. It is believed to be the only of its type to leave Sant’Agata in this shade, and one of the very few early cars equipped with the iconic SW dashboard gauges, carried over from the LP400 ‘Periscopio’.

After resurfacing in Munich in 2001, then finished in red, the Countach was exported to Finland before being placed into storage, where it remained until being sold at auction in 2016. Still fitted with its matching-numbers engine, the car was treated to a full restoration in Modena that was overseen by former Lamborghini chief test driver, Valentino Balboni. The extensive rebuild included a return to its original and highly desirable colour combination.

While the unique colour is remarkable, the most notable aspect of this stunning Countach LP400 S is in fact the quality of the restoration, which was carried out to a very high standard under the supervision of a Lamborghini legend.

Lorsque la Lamborghini Miura fit irruption en 1966, elle changea à jamais la donne pour les voitures de performances élevées. Une fois qu'elle eut progressivement évolué vers toujours plus de puissance, il devint normal qua sa remplaçante, la Countach, reconduise en totalité son esprit révolutionnaire. Nette, tranchée et angulaire, sa ligne en coin due à Marcello Gandini causa un émoi tout aussi important lorsqu'elle fut dévoilée, au Salon de Genève 1971. Une fois que les pilotes et les journalistes eurent constaté les performances offertes par ses 375 chevaux bruts, le flambeau était bel et bien passé.

De même que la Miura, la Countach progressa au fil du temps et, même si la netteté des lignes et la pureté du dessin de la Periscopio exercent à jamais une forte séduction sur les collectionneurs, la LP400 S apporta une touche d'agressivité bienvenue lorsqu'elle fut lancée, en 1978. Lâchée sur les routes quatre ans après la LP400, cette version évoluée était dotée de pneus Pirelli encore plus larges logés dans des passages de roue gonflés et d'une nouvelle géométrie des trains qui accentuait l'agressivité de sa posture.

Sur les 237 LP400 S construites, les premières Série I aux roues Campagnolo Bravo "en cadran de téléphone" et à l'assiette abaissée sont les plus recherchées. Ce châssis 1121028, le 14ème de la série, sortit d'usine le 26 octobre 1978 dans la magnifique harmonie de teintes bleu nuit métallisé et intérieur blanc. On considère que c'est la seule de ce type à avoir quitté Sant’Agata de cette couleur et l'une des très rares voitures du début de production au tableau de bord équipé des mythiques cadrans SW reconduits de la LP400 Periscopio.

Après avoir refait surface à Munich en 2001, la Countach, qui était alors rouge, fut exportée en Finlande et y fut remisée, avant d'être vendue aux enchères en 2016. Alors toujours équipée de son moteur à numéro concordant, elle bénéficia à Modène d'une restauration complète supervisée par Valentino Balboni, l'ancien pilote d'essai en chef de Lamborghini. Cette complète réfection s'accompagna d'un retour à sa séduisante harmonie de teintes d'origine.

Indépendamment de sa remarquable couleur si rare, l'aspect le plus notable de cette impressionnante Countach LP400 S est la qualité de sa restauration, menée avec un très haut niveau d'exigence sous le contrôle d'une légende de Lamborghini.