Lot 178

Paris 2019

1960 Ferrari 250 GT Cabriolet Series II by Pinin Farina

{{lr.item.text}}

€1,200,000 - €1,400,000 EUR | Not Sold

France | Paris, France

{{internetCurrentBid}}

{{internetTimeLeft}}


language
Chassis No.
1983 GT
Engine No.
1983 GT
  • Just two owners and 65,952 km from new; single-family ownership for over 50 years
  • Retains its original engine and rear axle
  • The 50th example of just 200 built
  • Deux propriétaires et 65 952 km seulement depuis l'origine ; dans la même famille pendant plus de 50 ans
  • Moteur et pont arrière d'origine
  • 50e exemplaire de 200 produits

Intended for a different customer and style of driving than Ferrari’s other open-top offering, the 250 GT California Spider, the 250 GT Cabriolet was a true gentleman’s Ferrari designed for high-speed touring in comfort. With the performance one would expect from Maranello’s finest, the cabriolet gave no concessions to luxury and was exquisitely trimmed and appointed to please Ferrari’s demanding clientele. With a spacious boot that could hold more than enough luggage for two for a long-weekend trip, this was the ideal touring car for the California coast or the South of France.

The cabriolet offered here, chassis no. 1983 GT, is a superbly presented Series II example, the 50th of 200 cars built. According to Ferrari historian Marcel Massini, the chassis was delivered from Ferrari to the Carrozzeria Pinin Farina plant in Torino on 11 May 1960 and was completed exactly four months later. It was originally finished in Grigio Conchiglia (MM 16249) with a Beige vinyl and leather interior (VM 3218) and was delivered new to Ferrari’s official importer Franco-Britannic Autos Ltd., in Paris, France.

Chassis no. 1983 GT was sold to its first owner, Raymond Veuillez, also of Paris, and registered 1042 KF 75. Interestingly, when the prefecture recorded the registration to Mr Veuillez, they transposed the last two numbers of the chassis number, recording it as ‘1938 GT’. A simple error, as Ferrari’s early racing cars had even-numbered chassis numbers, while the road cars received odd numbers. In 1965, the car was sent back to Ferrari for servicing and was refinished in dark blue with black leather interior at that time. Mr Veuillez owned the car until 4 November 1967 when it was sold to the second owner in Toulouse, France. It was registered there under plate 9237 QP 31. The car has remained with that owner’s family since 1967, making this a highly uncommon opportunity to own such a magnificent machine with known history, including time spent in long-term single-family ownership.

After many years of service, the car was mechanically restored approximately 20 years ago. Having covered approximately 10,000 km since the work was completed, the odometer now reads 65,952 km from new. The car was repainted several years ago in its original shade of Grigio Conchiglia, though it still wears the black leather interior which was fitted by Ferrari in 1965. It presents beautifully with an exceptionally attractive patination and signs of use consistent with a well-loved automobile of this vintage.

Overall, this is a truly beautiful machine with the exceptional performance one comes to expect from a 250 GT. Ready for its third owner within its nearly 60-year history, it will make a fine centrepiece to any Ferrari collection and would be an exceptional companion for any driving tour or show.

Proposée pour un autre style de client et d'utilisation que sa sœur la 250 GT California Spider, la 250 GT Cabriolet était une vraie Ferrari de gentleman conçue pour la conduite rapide mais dans un grand confort. Avec des performances qui étaient à la hauteur de ce que l'on pouvait attendre des meilleures voitures de Maranello, le cabriolet ne sacrifiait pas le luxe et offrait une finition superbe et un équipement complet, de façon à satisfaire la clientèle Ferrari la plus exigeante. Avec un coffre spacieux qui pouvait accueillir des bagages plus que suffisants pour un long voyage de week-end, c'était la voiture idéale pour se rendre sur la côte de Californie ou dans le sud de la France.

Le cabriolet proposé ici, châssis n° 1983 GT, est une version Série 2 en superbe état, le 50e exemplaire de 200 fabriqués. Selon l'historien Ferrari Marcel Massini, le châssis a été livré le 11 mai 1960 des ateliers Ferrari à l'usine de la Carrozzeria Pinin Farina à Turin, d'où la voiture terminée est sortie exactement quatre mois plus tard. Elle était à l'origine de teinte "Grigio Conchiglia" (MM 16249) avec intérieur en vinyle et cuir beige (VM 3218), et a été livrée neuve à l'importateur officiel Ferrari en France, Franco-Britannic Autos, à Paris.

Le premier acheteur de cette voiture était Raymond Veuillez, demeurant à Paris, qui l'a immatriculée 1042 KF 75. Il est intéressant de noter que, quand la préfecture a enregistré l'immatriculation de M. Veuillez, elle a inversé le deux derniers chiffres du numéro de châssis, notant "1938 GT". Une simple erreur, car les premières voitures de course Ferrari recevaient des numéros pairs, alors que les voitures de route se voyaient attribuer des numéros impairs.

En 1965, la voiture a été renvoyée chez Ferrari pour une révision et, à cette occasion, elle a été repeinte de couleur bleu foncé et a reçu une sellerie en cuir noir. M. Veuillez a gardé la voiture jusqu'au 4 novembre 1967, date à laquelle elle a été vendue à son deuxième propriétaire, un habitant de Toulouse. Elle a donc été immatriculée en Haute-Garonne, sous le numéro 9237 QP 31, et elle est ensuite restée dans la famille de 1967 jusqu'à aujourd'hui. Ainsi, cette machine magnifique, avec une histoire connue, représente une opportunité très rare d'entrer en possession d'une voiture ayant appartenu aussi longtemps à une même famille.

Après plusieurs années de service, la voiture a été restaurée mécaniquement il y a une vingtaine d'années. Ayant couvert quelque 10 000 km depuis les travaux, elle affiche aujourd'hui 65 952 km d'origine au compteur. La voiture a été repeinte il y a plusieurs années dans sa teinte d'origine "Grigio Conchiglia", mais elle est toujours équipée de la sellerie en cuir noir dont elle avait été dotée en 1965. Sa présentation est superbe, avec une patine extrêmement séduisante et des signes d'utilisation qui correspondent à l'usage soigneux d'une belle automobile.

D'une façon générale, c'est une voiture de toute beauté, qui offre les performances exceptionnelles que l'on attend d'une 250 GT. Prête pour son troisième propriétaire au terme d'une histoire de presque 60 ans, elle constituera une très belle pièce maîtresse pour toute collection Ferrari, et une compagne exceptionnelle pour tout voyage ou toute exposition.